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pop

  • Loulia dévoilée

    Loulia est de retour avec "Rouge velours", un titre avec, en featuring avec l'artiste américain Imvnyel.

    Comme nous le disions dans nos précédentes chroniques, la chanteuse française s’affranchit de tout cadre et semble être à l’aise partout : chanson française, pop internationale et même… k-pop.

    On l’avait découverte décomplexée dans "Booty Girl, un morceau très "James Bond Girl". Voilà qu’en ce début d’année, la musicienne remet le couvert avec "Rouge velours". Amour, désir et même romance caractérisent ce joli morceau. Et l’on découvre que le rap et la musique urbaine savent aussi jouer de la sensualité. Oui, Loulia a trouvé en Imvnyel un alter-ego qui lui va comme un gant… de satin. Pardon, de velours…  

    Voilà qui vient confirmer toutes les qualités d’une artiste à suivre absolument… En attendant un futur premier album ?

    Loulia, Rouge velours, 2024
    https://open.spotify.com/album
    https://www.instagram.com/loulia_officiel
    https://www.tiktok.com/@loulia_officiel

    Voir aussi : "Loulia, libre et amoureuse"
    "Un nouveau clip pour Loulia"

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  • Une ange nommée Bérengère Andrews

    "Up Till Now". Voilà un titre qui devrait parler à tous les amoureux et toutes les amoureuses de la pop eighties. Une bonne cure de nostalgie par une artiste qui a eu une mille vies.

    Bérengère Andrews a le cœur entre la France et l’Irlande, où elle a d’ailleurs fait ses premières armes. Sportive aguerrie autant qu’artiste, elle a notamment intégré Legendsea, un groupe de composition de "métal mélodique" aux influences extrêmement variées. Mais la musicienne est décidemment une touche-à-tout en matière musicale : rock, blues, disco ou jazz. Ici, c’est vers la pop qu’elle se tourne avec son single "Up Till Now". Il s’agit du premier extrait de son album That day.

    "Up Till Now", servi par un clip onirique, est une vibrante déclaration d’amour. Ce titre écrit par Paul Slade et composée par Patrick Liotard parle d’une reconquête insatiable pour récupérer l’être aimé.

    C’est à découvrir en ce moment, en attendant son futur album. 

    Bérengère Andrews, Up Till Now, Labalme Music Productions, 2024
    https://labalmemusic.com/berengere-andrews
    https://muzicenter.yacast.fr/pl/26884/brangre-andrews-up-till-now 
    https://www.facebook.com/profile.php?id=100056894674946

    Voir aussi : "Loulia, libre et amoureuse"

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  • Loulia, libre et amoureuse

    Il y aura toujours une place pour Loulia sur Bla Bla Blog. On aime son univers, sa manière de naviguer à l’aise dans une pop internationale, sans se fixer de barrières. Que l’on pense à son intrusion dans la k-pop, où elle se meut avec aisance et plaisir – '따뜻해' (Warm) – ou à son clin d’œil appuyé en direction des mythiques James Bond Girls – Booty Girl.

    Loulia est de retour avec un titre en anglais, I’m Done. La voix veloutée sert parfaitement ce morceau langoureux, déclaration d’un amour ("I hear you creep into my dreams") même s'il s’agit d’un amour imparfait. "Les émotions ne sont pas ta priorité / Tu m’appelles au téléphone quand tu te sens seul" chante-t-elle ("Emotions are not your priority / You hit up my phone when you feel alone"). Aimer, oui, dit en substance Loulia, mais priorité est donnée à la liberté : "Je ne suis pas un jouet".

    Voilà qui est fort bien dit. Et fort bien chanté. 

    Loulia, I'm Done, 2023
    https://www.instagram.com/loulia_officiel
    https://www.tiktok.com/@loulia_officiel

    Voir aussi : "French k-pop"
    "Comme un air de James Bond Girl"

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  • Charlotte Savary en invitée surprise de Batz

    L’auditeur de Red Gold Rush, le premier album de Batz sera certainement désarçonné par l’entrée en matière de l’opus ("Pier One"), servant d’intro électro à une pop très nineties, "Call Me By Your Name", en hommage au film de 2017, un morceau porté par la voix suave et enfantine de Charlotte Savary.

    La chanteuse du groupe Wax Tailor est, du reste, présente dans quatre autres morceaux de l’album, ce qui n’est pas le moindre de ses points forts. La chanteuse semble être un maillon des plus convaincants entre électro et pop, comme le prouve "Before The Flowers Die", sans doute l’un des meilleurs titres de l’opus.

    "A Two Days Walk" se veut une déambulation noctambule aux accents de mystères. Et que dire de "A Polaroid On The Beach" ? La voix juvénile de  Charlotte Savary est envoûtante et séduisante à souhait dans ce morceau à la fois pop, électro et gothique. Plus rock et nineties, la membre de Wax Tailor se donne avec passion et conviction dans le magnétique "Race Against Time". Ajoutons pour être complet que Charlotte Savary a par ailleurs participé à l’écriture de l’album.  

    L’inventivité du duo de Batz fait évidence

    Plus électro, le "Musical Boxes" frappe par sa densité, son rythme rock et ses trouvailles sonores nous baladant entre comptines pour enfant, boîtes de nuit et boucles sonores tirés d’un discours des plus inquiétants. On pourrait dire sensiblement la même chose avec le non moins sombre "Klaatu Barada Nikto", morceau à la sombre beauté, mais tout aussi irrésistible dans son travail sur le rythme et le son. Les membres de Batz revendiquent leurs influences à chercher du côté de John Carpenter, Depeche Mode, Vangelis ou Giorgio Moroder. On croirait par ailleurs que le Bowie de la Trilogie berlinoise s’est penché au-dessus du berceau du groupe créé par Franck Marchal et Sébastien Moreau.

    Avec "Neve", nous restons dans ce courant largement hérité de l’électro archaïque, mais néanmoins pleine d’audace et de joie, des années 70.  En cette période où le rap écrase tout, saluons "Information Paradox", un titre très rock et d’une belle sophistication. L’inventivité du duo de Batz fait évidence, tout autant que leur culture musicale et leur désir de s’approprier le meilleur de la culture pop. Citons ici l’énigmatique et entêtant "47°15’50,8> 2° 27’13,1>W (The Map)" ou encore l’électro-pop endiablée et "jarrienne" de "Sodium Chloride".

    "Pier Two" est le pendant final du "Pier One". Nous voilà dans de l’électronique pur jus dont les vagues planantes à la Vangelis sont un vrai bonheur. Parfait pour terminer ce Red Gold Rush d’une fort belle tenue. 

    Batz, Red Gold Rush, SuperCali, 2023
    https://www.facebook.com/Batzmusic
    https://www.instagram.com/wearebatz
    https://supercali.ffm.to/smokyquartz.opr

    Voir aussi : "Brune et chauffée à blanc"

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  • Âme franco-suisse

    Sur des rythmes mystérieux et lancinants, Sophie Darly, une de ces très jolies découvertes pop de cet automne, débute son nouvel album, en anglais, Show Down Fast, par un titre à la fois pop et soul, appuyé par un orchestre d’une belle densité. "Living The Dream" est autant une confession qu’une une invitation à vivre de ses rêves : "Here I go, my world has fallen / My world has fallen down / Here I come, out of the boredom / Somewhere out of sight / I will plant everything of seed / Of Love, live and joy".

    La Franco-suisse prend à bras le corps des influences du sud américain – blues, folk et rock – pour bâtir un troisième opus convaincant. L’élégance et le timbre de Sophie Darly font d'ailleurs merveille dans le morceau blues "Miracle".

    La musicienne s’épanouit dans un répertoire de songs au large éventail. Elle opte pour la pop très nineties dans le délicat, poétique et touchant "J&A" aux fort bienvenues ruptures de rythme. Pop encore avec le très réussi et terrible "The Trap" qui parle d’amour et de ces pervers narcissiques, tellement doués pour tendre leurs pièges sentimentaux.

    Sophie Darly séduit par sa manière de revisiter la soul et le blues, avec la fougue de l’Européenne qu’elle est


    Mine de rien, Sophie Darly séduit par sa manière de revisiter la soul et le blues, avec la fougue de l’Européenne qu’elle est. Que l’on pense au vibrant "Love with A Twist", enrichi et colorée par une orchestration jazz – et le saxophone incroyable de Pierre Pédron. L’artiste y parle d’amour et des difficultés de la vie à deux, possible uniquement avec des compromis et, justement, d’une danse à deux – qu’elle soit valse ou twist.

    Sophie Darly est aussi capable de jolies tergiversations, à l’instar de "Monster B",  où son talent de chrooneuses fait merveille dans ce titre faussement léger.      

    Pour "Frozen Love", la chanteuse démarre par un piano-voix moins sombre que mélancolique. L’album se termine avec le délicat et touchant "In The Silence Of The Night". Une bonne manière de clôturer un opus à la fois sincère, vivant et au solide tempérament. Toute l'âme du sud, quoi... Pardon, de la soul.

    Sophie Darly, Show Down Fast, Broz Records label/ L’Autre Distribution, 2023
    Sophie Darly en concert le 19 janvier 2024 au Studio de l’Ermitage à Paris
    Et au Grand Studio du Conservatoire du 14ème, le 26 avril 2024, en hommage aux femmes compositrices
    https://sophiedarlymusic.com
    https://www.facebook.com/sophiedarlymusic
    https://www.instagram.com/sophiedarly

    Voir aussi : "Brune et chauffée à blanc"

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  • Histoires de roux et de rousses

    Je vous parlais il y a peu de l’étonnante et rafraîchissante compilation de Camille et Julie Berthollet consacré aux génériques télé (Series). Tout aussi vivifiant, leur version des Quatre Saisons de Vivaldi, sortie en 2019, mérite que l’on s’y intéresse.

    Certes, depuis les revisites baroques sur instruments d’époque au cours des années 80 et 90, le chef d’œuvre populaire du compositeur roux vénitien semble avoir été assez peu dépoussiéré – si l’on excepte celle de Nemanja Radulovic en 2011. Or, soyons honnêtes, les jeunes divas rousses de la musique classique ne révolutionnent pas la lecture des célèbres quatre concertos pour violon.

    C’est un retour à une œuvre classique, archi-jouée, archi-connue et archi-réutilisée que Camille et Julie Berthollet proposent, et l’on doit bien admettre que les violonistes se tirent très bien de cet exercice, si l’on pense au "Printemps ». Pour "L’été", les interprètes mettent la jeunesse, l’enthousiasme et la vivacité à l’honneur, dans un premier mouvement "Allegro non molto" mené tambour battant et un "Allegro" naturaliste et nerveux.

    L’auditeur ne se sentira pas dépaysé par cette version somme toute classique des Quatre Saisons, dont chaque concerto ne dépasse pas les douze minutes, ce qui rend cette œuvre d’autant plus dense, efficace et imagée : les danses villageoises aux beaux jours, les paysages écrasés de soleil, les couleurs de l’automne, la nature qui s’endort (l’"Adagio Molto" de "L’automne"), sans oublier les tourbillons musicaux incroyables dans "L’hiver", sont sans aucun doute l’un des summums de la musique classique. 

    Pop

    Si les sœurs Berthollet ont appelé leur album Nos 4 Saisons, ce n’est évidemment pas sans raison. Comme elles l’écrivent en présentation de leur disque, les interprètes insistent sur la puissance et l’influence de cette œuvre du "prêtre roux" dans l’histoire de la musique : "Si on écoute bien, on retrouve ses harmonies dans toute la musique pop d’aujourd’hui".

    "Pop". Le mot est dit et assumé. Camille et Julie Berthollet assument cette idée en proposant, suite à leur version des concertos de Vivaldi, quatre chansons composées en grande partie par les sœurs Berthollet d’après des fragments et des extraits des Quatre Saisons. C’est "Pour être une femme", en featuring avec Joyce Jonathan, d’après "L’hiver", c’est "Même étoile", avec Ycare, d’après "L’automne". C’est aussi "Crash d’amour", avec Foé d’après "Le printemps". Il faut aussi parler de "Regard d’été" écrit, composé et interprété (on aimerait même dire slamé) avec grâce par Camille et Julie Berthollet. Cette chanson est sans doute l’un des bijoux surprises de cet étonnant opus, opus plaisir qui entend dépoussiérer les monuments du classique.  

    Comme beaucoup d’enregistrements des Quatre Saisons, celui-ci se termine avec une version de L’estro armonico, un ensemble de concertos pour violon, mené avec maestria et un plaisir manifeste. Et comme les sœurs Berthollet entendent assumer jusqu’au bout leurs envies de décloisonner les genres, elles clôturent leur album avec une chanson originale, "Falling", prouvant que ces artistes ne sont pas que des interprètes inspirées. Elles sont aussi des compositrices, aussi à l’aise dans le classique que dans la pop et la chanson. 

    Camille & Julie Berthollet, Nos 4 Saisons, Warner Classics, 2019
    https://www.warnerclassics.com/fr/release/4saisons
    https://www.camilleetjulieberthollet.com
    https://www.facebook.com/camilleetjulieberthollet
    https://www.instagram.com/julieberthollet
    https://www.instagram.com/camilleberthollet
    https://www.youtube.com/channel/UCd4tZR7nSGBtHF5Gbt4BZQg

    Voir aussi : "Chiller avec les sœurs Berthollet"

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  • LA Laura Paris, un bonbon hyperpop 

    Et si on tenait, avec LA Laura Paris un futur phénomène de la pop ? C'est bien ce que l'on se dit à l'écoute de son dernier titre, "Bonbon"Et c'est en tout cas tout le mal que l'on espère pour cette artiste franco-belge, ayant déjà pas mal roulé sa bosse entre cours de violon et piano à l'Académie Royale de Musique de Bruxelles.

    La jeune artiste multiplie les talents et les qualités : la danse, l'engagement pour l’utilisation de la langue des signes dans ses chorégraphies, le mannequinat, la mode, l'art visuel, la comédie, les clips (elle a remporté un Award et a été nominée pour ses clips vidéo "I'm Leaving Right Away" et "Kissing Boys") et, bien entendu, la musique. N’en jetez plus.

    C’est dans la pop que LA Laura Paris fait assurément des étincelles et, s’il est vrai que le concept d’hyperpop prend de l’ampleur depuis quelques années, LA Laura Paris mérite d’y figurer à l’aise.

    Après ses tours de force que furent "I'm Leaving Right Away" et "Kissing Boys", la plus internationale des Parisiennes, marchant sur les pas de Lady Gaga, fait du bonbon la plus sexy des friandises, avec un titre idéal pour les dancefloors, et sublimé par le featuring d'Alezander.  

    Allez, on la laisse "faire des bêtises" sans problème et on va suivre avec beaucoup d’intérêt cette singulière personnalité de la pop. Pardon, de l’hyperpop.

    LA Laura Paris, Bonbon, 2023
    https://www.la-official.com
    https://www.facebook.com/LALauraParis
    https://www.tiktok.com/@lalauraparis

    Voir aussi : "Une bonne dose de Buridane"

    LA Laura Paris · Bonbon (feat. Alezander)

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  • Suivez Aïtone

    Aïtone revient avec un deuxième album, Follow, à la facture des plus séduisante. C’est à l’image du premier titre, "Inner Child", une pop éthérée, d’une belle délicatesse, très british (tout l’album est en anglais), avec la voix juste et haute d’Aïtone.

    Oui, il faut suivre Aïtone, pour reprendre le titre du morceau qui donne son nom à l’album ("Follow"). Son deuxième opus prend des chemins pop, et même britpop, avec ses sonorités claires et ses intonations que l’on dirait vaporeuses. On peut dire que le mystère court sur Follow, un mystère non exempt de souffrances et de mélancolie ("As Fire We Fall").

    On baigne dans cet album comme dans un océan musical aux délicats reflets musicaux ("Happy Thought"), aux teintes pastel ("Sail Away"). Le tout est appuyé par une production et une orchestration sans faille. Du grand classique et un vrai retour aux sources, dans une pop non sans teintes psychédéliques.

    Pour l'enregistrement de ce nouvel opus, Aïtone a fait appel à François Poitou, arrangeur au sonorités originellement plutôt tournées vers le jazz, et qui apporte aux compositions un souffle et une ampleur nouvelles. Nous retrouvons aussi sur le disque Benjamin Colin et Quentin Gouraud à la batterie et aux guitares, et François Poitou à la basse. 

    Un océan musical aux délicats reflets musicaux

    Mais le rock et la fureur ne sont pas absents, à l’instar du morceau très eighties, "We’re The Same" ou "Le temps de l’autre" – en anglais, contrairement à ce que son titre l’indique, sans doute l’un des meilleurs extraits de l’opus.

    L’auditeur sera sans doute plus sensible à la superbe ballade "Nightmare", sans doute l’une des plus jolies créations de l’album. Aïtone est comme ça : il propose une pop à la fois sophistiquée, moderne, avançant à petits pas, et avec une sensibilité qui frappe au cœur. C’est le très joli "Yards Of Limbs", l’autre très grand morceau de l’opus qui mériterait de figurer sur beaucoup de playlists.

    Après un "Cold & Fever" franchement planant et fiévreux – justement –, Follow se clôt de la plus belle des manière avec "Set On Fire", ballade faisant le pari de la mélancolie et de l’une forme classique avec cordes, à l’instar des Tindersticks. Un vrai retour aux sources. 

    Aïtone, Follow, Musigamy / Inouïe Distribution, 2023
    https://www.aitonemusic.com/music
    https://www.facebook.com/aitone
    https://www.instagram.com/aitonemusic

    Voir aussi : "Louis Arlette, classique et moderne"

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