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• • Articles et blablas - Page 79

  • Il se passe quelque chose avec Auren

    Auren, de retour avec un nouvel album, Il s’est passé quelque chose. Elle propose une chanson française hyper pop, à la fois urbaine et électro, à l’instar du titre "Au bord de la nuit", moins noctambule que le récit d’une insomnie remplie d’"idées noires". Ah, qui n’a pas ressassé et refait son film : "Si j’avais su, j’aurais dû, j’aurais pu… et le réveil qui n’avance pas" !

    Auren se dévoile dans ce nouvel opus, avec un mélange d’authenticité et de sophistication dans la facture. Citons "Davantage", une déclaration d’amour faite d’attente, d’envies, de désirs ("Je te veux davantage / Débordant et sauvage"), avec l’insatisfaction au bout du compte : "Et personne à ma porte / Que le diable m’emporte".

    "Je m’enfonce" peut s’écouter comme une confession dans lequel Auren assume non sans humour grinçant son esprit cash, mais sans doute est-ce pour mieux se dissimuler  : "J’altère et je déguise mes sentiments / En réponse on ne sait pas qui je suis… "Ma bouche est un crime presque parfait… J’avoue, j’avoue je m’en fous".

    La pop d’Auren balance entre son des eighties, slam, électro bricolée et vraie ambition musicale

    Dans Il s’est passé quelque chose, on a plaisir à retrouver Jeanne Cherhal, dans un duo complice, revivifiant et non sans sensualité. C’est le morceau "Vivante" : "Vois-tu comme je suis vivante / Vois-tu comme j’ai faim en moi / As-tu peur de ça dis-moi". Auren avait envie d'écrire une chanson qui considère vraiment la femme comme celle qui se connaît, qui aime, qui ressent, qui a faim… Et ce fut une évidence pour elle d’inviter Jeanne Cherhal (précurseuse en la matière) à partager ce titre.

    À l’instar du morceau "Il s’est passé quelque chose", la pop d’Auren balance entre son des eighties, slam, électro bricolée et vraie ambition musicale. "Il s’est passé quelque chose" répète l’artiste dans l’un des titres les plus intéressants de l’album : engagement, féminisme, coups de colère.

    L’opus d’Auren peut se lire évidemment comme le portrait d’une femme avec ses espoirs, et ses désirs et toutes ses fragilités (le poétique et lumineux "Avec des si"). Elle ne cache pas plus ses douleurs, ses regrets et ses appels (le sophistiqué "J’ai eu mon heure"). L’influence musicale des années 90 est évident à l’écoute de l’intime et amoureux "J’te laisse aller".

    "Monde fini", qui vient clore l’album, séduit par son choix d’une facture pop-folk enrichie de sons électroniques et de variations vocales. L’auditeur, attentif, saluera, ici comme ailleurs, la qualité d’écriture du texte ("J’ai trouvé la liberté avec les mots", confie-t-elle d’ailleurs). Oui, vraiment, il se passe quelque chose avec Auren.

    Auren sera en concert à la Boule Noire à Paris le 27 mars 2023 et en tournée.

    Auren, Il s’est passé quelque chose, Kuroneko, 2023
    http://www.auren-officiel.com
    https://www.facebook.com/aurenmusics
    https://www.instagram.com/auren

    Voir aussi : "Samuele met des paillettes dans sa vie"

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  • Qu'est-ce ce que nos rêves nous révèlent de nous-même ?

    Le Centre d’art contemporain des Tanneries, à Amilly, invite le Café philosophique de Montargis pour une séance entre ses murs. Cette séance aura lieu le vendredi 24 mars 2023 à 18H30. Le débat autour de cette question : "Qu'est-ce ce que nos rêves nous révèlent de nous-même ?" Cette séance entrera dans le cadre de l'exposition "Quart de nuit" de Méris Angioletti, que les Tanneries proposent du 4 février au 16 avril 2023.

    Au sujet de son travail présenté à Amilly, l’artiste dit ceci : "La nuit devient un lieu privilégié de communication". Voilà une phrase singulière au sujet de laquelle la philosophie peut trouver matière à débat autour du rêve.

    Dès l’Antiquité, le rêve a été considéré comme un moyen de divination et pouvait même servir de remède. Ce n’est qu’au XXe siècle, avec Sigmund Freud, que le rêve est devenu un concept scientifique, psychologique – et psychanalytique – à part entière. Le rêve, étrange et fascinant médium, peut vite nous sembler obscur. Les participants du café philo seront invités à débattre sur l’utilité des rêves. Que disent-ils de nous ? Peuvent-ils nous révéler plus encore que notre conscient ? Plus généralement, pourquoi rêvons-nous ? Les rêves permettent-ils d'appréhender le réel ? L’artiste Méris Angioletti dit que "Les œuvres [peuvent devenir] des expériences, des exercices pour apprendre à voir dans le noir". Le rêve permet-il lui aussi de voir dans le noir ?  

    Voilà quelques questions qui pourront être débattues au cours de cette séance dans l’exceptionnel écrin des Tanneries. La séance débutera par une visite de l’exposition "Quart de nuit" de Méris Angioletti.

    Rendez-vous donc aux Tanneries d’Amilly pour cette séance spéciale du café philosophique de Montargis, le vendredi 24 mars 2023 à 18 heures 30. Retenez bien le lieu et l’horaire spéciaux !

    La participation sera libre et gratuite.

    "Qu'est-ce ce que nos rêves nous révèlent de nous-même ?"
    Café philo aux Tanneries, Amilly
    Vendredi 24 mars 2023 à 18H30
    http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com

    Voir aussi : "La peur est-elle mauvaise conseillère ?"

    « Divine Horsemen », une performance de Meris Angioletti (05/02/2017) from MACVAL Productions on Vimeo.

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  • Sexy Hartmann Book

    Décidément, l’Espagne de la BD nous révèle de sacrées surprises. Après l’art book de Raúlo Cáceres, sorti l’an dernier (Éros et Thanatos), les éditions Tabou proposent de découvrir ou redécouvrir un autre auteur majeur de la bande dessinée érotique, Erich Hartmann, auteur de la saga Orgies barbares (Cuentos medievales), forte déjà de plus de 400 pages.

    Raúlo Cáceres et Erich Hartmann : deux auteurs sulfureux et deux univers. Le premier, tout droit venu de Cordoue, met en scène dans des planches en noir et blanc des récits mêlant sexe, tortures et sadisme. Le second, venu des Îles Canaries, privilégie la couleur, bien que la violence ne soit pas absente non plus. Grâce à une facture plus classique, Erich Hartmann fait des femmes des héroïnes fatales, séductrices, courageuses, dans des "scènes érotiques moins forcées", avec un humour omniprésent : "J’utilise énormément de jeux de mots et de double sens", confesse l’auteur au visage d’ange.

    Barbarement Vôtre, un art book de bonne facture, permet d’entrer dans l’univers de ces "orgies barbares", un cycle de BD mêlant heroïc-fantasy, récits médiévaux et sexe. Erich Hartmann fait de ses figures féminines des personnages forts, adorés par un fan-club fidèle et complice : "Nombre [de ces personnages] ont fini par avoir suffisamment d’importance pour générer leurs propres histoires". Pour les connaisseurs et les connaisseuses, il faut citer les mercenaires Shaya et Laïs – parfois surprises dans leurs étreintes – ou encore Yevlyn, Zoïa et Hsu, semblant toutes droit sorties d’un jeu de rôle – pour adultes.

    Erich Hartmann fait de ses figures féminines des personnages forts, adorés par un fan-club fidèle et complice

    L’album est riche de reproductions – si j’ose dire – aussi sulfureuses les unes que les autres. Le fantastique est présent ("Yasmine dans une scène très « Shokushu »" ou des elfes dans des scènes lesbiennes).

    Outre des précisions sur la manière dont le dessinateur espagnol élabore ses couvertures, Erich Hartmann consacre tout un chapitre à la manière dont il travaille et comment sa technique a évolué au cours des années.

    Quelques planches inédites complètent l’art book et, parmi elles, plusieurs magnifiques dessins au crayon en noir et blanc. Nous parlions du choix du noir et blanc de Raúlo Cáceres. Il faut reconnaître que, même s’il s’en défend, Erich Hartmann n’a pas à rougir de ces somptueuses et érotiques scènes au réalisme confondant. Et l’on se prend à rêver que l’artiste finisse par proposer une BD entière faite de crayonnés. Pari lancé ?  

    Erich Hartmann, Barbarement Vôtre,
    trad. Emma Delgado et Oscar Rodriguez, éd. Tabou, 2023, 96 p.

    http://www.tabou-editions.com/fr/art-book/859-barbarement-votre-art-book-9782359541595.html
    https://www.facebook.com/profile.php?id=100061266282700

    Voir aussi : "Monstrueusement sexy"

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  • Jeu de massacre

    On imagine aisément que Brad Pitt a dû bien se marrer à tourner Bullet Train avec ses petits camarades, dont l’excellent Aaron Taylor-Johnson (le futur 007 ?) et l’étonnante Joey King (The Kissing Booth, The Act). Sans oublier les singulières apparitions de Sandra Bullock.

    Le film d’action de David Leitch se déroule au Japon et quasi exclusivement dans un train rapide où se retrouvent des tueurs à gage et des mafieux de tout genre. Les règlements de compte peuvent commencer, entre le professionnel poissard ("La coccinelle", Brad Pitt, donc), l’adolescente revancharde ("Prince"), les deux faux jumeaux ("Citron" et "Mandarine") et un malfrat japonais parti venger son fils laissé pour mort.

    Le choix d’un huis clos à l’intérieur d’un bolide circulant à trois cents kilomètres à l’heure peut aussi être vu comme une métaphore

    Qu’importe l’intrigue, tarabiscotée pour ne pas dire indigente, avouons le : en réalité, Bullet Train repose avant tout sur le jeu de massacre promis entre ces tristes sires, souvent très drôle au demeurant. Brad Pitt, évidemment, est impeccable en "Monsieur malchanceux" et le couple "d’agrumes", largement inspiré de cet autre duo dans Pulp Fiction. L’inspiration de Quentin Tarantino est d’ailleurs évidente dans cette manière de chorégraphier les combats sanglants comme dans l’humour noir omniprésent.

    Ça se tue, ça se canarde et ça se poignarde tout au long du trajet du Bullet Train. Le choix du huis clos à l’intérieur d’un bolide circulant à trois cents kilomètres à l’heure peut aussi être vu comme une métaphore : rien ne saurait arrêter la vengeance et la violence de ces mafiosos, aussi dangereux et stupides que bavards.

    Pour adeptes d’humour noir et de scènes d’action chorégraphiées avec un talent certain. 

    En ce moment sur Canal+.

    Bullet Train, film d’action nippo-américain de David Leitch,
    avec Brad Pitt, Joey King, Aaron Taylor-Johnson,
    Brian Tyree Henry et Andrew Koji, 2022, 127 mn, Canal+

    https://www.sonypictures.fr/film/bullet-train
    https://www.canalplus.com/cinema/bullet-train/h/20033391_40099

    Voir aussi : "Les zinzins de l’Espagne"

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  • Le nœud de l’intrigue

    daniel fattore,suisse,nouvelles,confrerie18 nouvelles composent Le Nœud de l'Intrigue, le premier livre de Daniel Fattore aux éditions de la Plume noire. Dans ces histoires, tour à tour graves ("L'examen"), surréalistes ("Un verre chez Roger"), sombres ("Je tire"), burlesques ("Votre chartreuse a un goût"), poétiques ("Cheveux d'or") ou tendres ("Le filet de bar"), Daniel Fattore nous invite à une série de voyages dans des "quotidiens réels ou rêvés", comme il le dit lui-même. Et on ne peut pas dire qu'il manque de style ni d'humour pour une telle entreprise ! Avec une maîtrise remarquable, dans des histoires à l'intrigue parfois ténue, Le Nœud de l'Intrigue marque le début prometteur d'un écrivain qui a toutes les armes pour aller bien plus loin.  

    Daniel Fattore, Le Nœud de l’Intrigue, éd. La Plume noire, 2010, 98 p. 
    http://confrerie2010.canalblog.com/archives/2010/12/20/19929260.html
    https://editionlaplumenoire.blog4ever.com/le-noeud-de-l-intrigue-de-daniel-fattore
    http://fattorius.blogspot.com

    Voir aussi : "Tout droit de reproduction interdit"

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  • Sœurs de cœur

    Claudine Loquen est une des artistes coup de cœur de Bla Bla Blog. Son exposition actuelle à Saint-Yrieix-la-Perche, près de Limoges, est une chance de la découvrir ou redécouvrir.

    Claudine Loquen, ce sont d’abord ces figures féminines, historiques ou légendaires, que l’artiste choisit de saisir avec une singulière fraîcheur. D’Elsa Triolet à Emilie Brontë, en passant par Camille Claudel et Geneviève de Gaulle, il semble que ce sont des sœurs de cœur que Claudine Loquen représente, dans une facture naïve, ce qui les rend d’autant plus attachantes. 
    Les couleurs, les arabesques, les visages diaphanes et rougissants, les sourires innocents et le luxe de détails rendent ces tableaux reconnaissables entre tous, comme si Chagall lui murmurait à l’oreille.

    L’exposition "Des sœurs... et des histoires" a ce je ne sais quoi d’universel, une suite surtout de chants amoureux pour toutes les femmes.

    C’est à voir à la Médiathèque de Saint-Yrieix-la-Perche jusqu’au 22 avril 2023.

    Exposition de Claudine Loquen "Des sœurs... et des histoires"
    Du 28 janvier au 22 avril 2023 à la Médiathèque de Saint-Yrieix-la-Perche (87)
    http://www.claudine-loquen.com
    https://saint-yrieix.fr/culture-et-loisirs/les-espaces-loisirs-culturels/620-2

    Voir aussi : "Mes sœurs, mes semblables"
    "Femmes extraordinaires des Andelys"
     
    © Claudine Loquen - Elsa Triolet et Lili Brik - Technique mixte sur toile - 80x70cm

    Elsa Triolet et  Lili Brik.jpg

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  • Sarah Mikovski pour le réchauffement romantique

    C’est une retrouvaille que propose Bla Bla Blog. Celle avec Sarah Mikovski. Et on a bien fait d’attendre.

    La chanteuse est de retour avec "Le pôle nord", un single arrangé par David Donatien (l'arrangeur de Yael Naim). La qualité de ce nouveau titre saute aux oreilles de l’auditeur qui y écoutera avec émotion le récit d’un amour disparu.

    Dans le clip, Sarah Mikovski plonge "dans les périlleuses glaces du remords". Cette fin du monde sentimentale, chantée sans pathos et avec une voix veloutée et délicate, vient singulièrement en résonance avec des considérations planétaires et universelles.

    On gardera longtemps en mémoire les mots interprétés par Sarah Mikovski sur cet immense regret amoureux : "À quoi bon vivre en ce monde / Sans personne à mes côtés / Je n’ai pas eu la sagesse de te garder / Je n’ai pas eu la faiblesse de t’oublier". 

    Sarah Mikovski, Le pôle nord, 2023
    https://www.facebook.com/SarahMikovski
    https://www.instagram.com/sarah_mikovski

    Voir aussi : "Sarah Mikovski, douce et acide comme une Tête Brûlée"

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  • Les zinzins de l’Espagne

    L’Espagne propose en ce moment sur Netflix un étonnant thriller, Les Lignes courbes de Dieu, nommé, de l’autre côté des Pyrénées, pour les Goyas – l’équivalent des Césars – notamment dans les catégories "meilleur scénario adapté" et "meilleure actrice".

    Alice Gould rejoint un impressionnant hôpital psychiatrique pour y être internée. Il s’agit en réalité d’une mystification, car Alice est une détective privée chargée d’enquêter sur le meurtre d’un patient de cet asile. Bientôt, voilà Alice au milieu de fous et de folles (ces fameuses "lignes courbes de Dieu", comme le dit poétiquement le titre), à la recherche d’explications sur la mort de Damian, un étrange détenu.

    Elle ne peut compter sur personne, pas même sur le personnel médical et son inquiétant directeur.

    Il faut aussi souligner l’arrière-plan historique, qui a évidemment tout son sens

    Une détective enquêtant dans un asile psychiatrique. Voilà qui fait inévitablement penser au chef-d'œuvre de Martin Scorcese, Shutter Island. La comparaison s’arrête (presque) là. Bárbara Lennie enfile le costume de détective privée, en prenant toute une palette de jeux : enquêtrice pugnace, victime innocente, femme fatale, (fausse) folle parmi les fous. D’ailleurs, la question se pose : et si Alice était réellement malade ?

    Outre l’intrigue, parmi les intérêts du film il faut souligner la réalisation soignée, les cadrages impeccables, les moments fluides de la caméra, les reconstitutions (costumes, coiffures, voitures, accessoires), mais aussi les effets visuels – que l’on pense à la série de flash-back, avec une Alice dédoublée, voire détriplée.

    Il faut aussi souligner l’arrière-plan historique, qui a évidemment tout son sens. Nous sommes en 1979, quelques années après la mort du dictateur Franco. L’Espagne fait sa mue pour devenir une démocratie et une monarchie républicaine. Comme si la folie des quarante ans du Franquisme se reflétait sur ces zinzins de l’hôpital psychiatrique.  

    Au terme du visionnage du film, on ne peut qu’inviter le spectateur à se rendre sur Internet (par exemple, ici) afin de découvrir les multiples interprétations et commentaires sur ce film diablement malin. Ici comme ailleurs, rien n’est simple.

    Les Lignes courbes de Dieu, thriller espagnol d’Oriao Paulo, avec Bárbara Lennie,
    Eduard Fernández, Loreto Mauleón, 2022, 155 mn
    https://www.netflix.com/fr/title/81453541
    https://www.youtube.com/watch?v=D5XURVPbTH8
    https://www.youtube.com/watch?v=g3fBol5qku0

    Voir aussi : "Héroïne du quotidien"

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