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"Il n'y a pas de Requins dans la Loire" (critique)
Retrouvez sur ce lien une nouvelle critique de mon premier roman Il n’y a pas de Requins dans la Loire.
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Retrouvez sur ce lien une nouvelle critique de mon premier roman Il n’y a pas de Requins dans la Loire.
Le film Le Grand Retournement de Gérard Mordillat fait son petit effet dans les médias en raison de sa forme : parler de la crise en alexandrin.
Il n'est pas anodin de préciser que ce choix artistique n'est pas inédit : en 2007, je publiais une pièce de théâtre, Iphigénie d'Europe qui parlait de mondialisation et d'économie... en alexandrin. Ce livre est encore disponible, uniquement sur Internet.
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Cette nouvelle a reçu le 4ème prix au concours Jean-Hugues Oppel de la nouvelle au Salon du Livre de Montargis en 2005.
Les conditions imposées par le concours stipulaient que la nouvelle devait commencer par une citation imposée ("Elle est sa maîtresse depuis trois ans. Il est fou d'elle" tirée du roman L'inattendu de Charles Juliet) et se terminer par une autre citation ("Je suis fou de joie à l'idée de retrouver demain mon village, ma chienne et mes vaches" tirée de L'Année de l'Éveil de Charles Juliet). L'histoire : le narrateur, un jeune garçon, raconte une histoire d'amour peu ordinaire avec une jeune femme, mademoiselle F. Ce n'est que vers la fin de nouvelle que le lecteur découvrira le contexte de cette "idylle" où l'innocence de l'enfance percute de plein fouet la cruauté du monde adulte.
Photo : Dids - Pexels
Cette nouvelle a reçu le 3ème prix au concours Jean-Hugues Oppel de la nouvelle au Salon du Livre de Montargis en 2003.
Les conditions imposées par le concours stipulaient que la nouvelle devait commencer par une citation imposée ("Le rocher ne ment jamais", tiré du roman Ambernave de Jean-Hugues Oppel) et se terminer par une autre citation ("Il repartira comme il est venu, par le fleuve", tiré de Piraña Matador de Jean-Hugues Oppel).
L'histoire : au crépuscule de sa vie, une vieille femme s'assied au pied d'un menhir, Boadigon, qui a accompagné ses jeux d'enfant. Elle se souvient d'une soirée particulière avec sa jeune sœur, soixante ans plus tôt.
Cette nouvelle devrait sortir en librairie au milieu d'un recueil collectif.
Photo : Bruno Chiron
Retrouvez ici ma contribution au roman collectif européen Inside the Circle.
Ce roman, commencé fin 2011 et écrit en plusieurs langues (français, anglais, allemand, etc.), est publié pour l'instant uniquement en ligne à cette adresse : http://epowritingclub.wordpress.com/inside-the-circle.
Le chapitre que je publie (sous le pseudonyme de Victor) s'intitule : "De qui Maagal est-il le nom ?" Pour ceux qui n'auraient pas suivi cette aventure littéraire, Inside the Circle a pour point de départ une histoire de manipulation à l'échelle internationale dans lequel l'Internet joue un rôle majeur. Derrière ce complot se cacherait un étrange individu prénommé Maagal. Au moment où mon chapitre commence, cet homme est enfermé dans un hôpital psychiatrique à Hambourg.
Découvrez ma contribution à ce roman collectif ici.
Aujourd'hui sort mon premier roman Il n'y a pas de Requins dans la Loire, aux éditions de la Plume noire, une petite maison d'édition suisse spécialisée dans le polar.
Il s'agit de l'aboutissement de plusieurs années de travail sur un texte qui a fait l'objet de pas moins de cinq versions différentes.
L'histoire :
Venu tout droit de Paris, Daniel Mouret, modeste clerc de notaire, s’installe avec sa femme Sonia à Gien. Il est bien décidé à faire carrière dans cette petite ville du Loiret. Le tragique naufrage d’un chaland donne inopportunément un coup de pouce à son ambition. Le couple caresse un autre rêve : s’installer dans une maison à la campagne. Une occasion en or se présente : un notable charismatique propose aux Mouret l’achat de « Belle Rive », une grande propriété sur les bords de Loire. Seul hic à cette « affaire du siècle » : une vieille dame y vit toujours et n’est pas décidée à partir. Le vendeur promet cependant aux Mouret de remédier à cette difficulté. Quelques mois plus tard, la locataire gênante n’est plus un problème…
Roman noir autant que portrait d’une petite société avide de réussite sociale, Il n’y a pas de requins dans la Loire tisse autour de personnages aux lourds secrets une intrigue hitchcockienne qui se révèle dans les toutes dernières pages.
Consultez les premières pages de ce roman ici
Publication en septembre 2007 d'Iphigénie d'Europe, la première pièce de théâtre que j'ai publiée ; et en plus, ce n'est pas à compte d'auteur !
Un livre plus que jamais d'actualité avec la crise financière et économique !
Au départ d'Iphigénie d’Europe il y a eu un défi : celui d’écrire une pièce de théâtre burlesque en vers de douze pieds sur un sujet très actuel : le libéralisme économique et la mondialisation.
Ce postulat de départ n’est pas si étonnant qu’il n’y paraît : les drames de Racine ou de Corneille n’ont-ils pas pour toile de fond une guerre ? Et aujourd’hui la mondialisation n’est-elle pas une forme de guerre, moins sanglante certes mais tout aussi brutale ?
Le mythe de la Guerre de Troie a été choisi comme modèle pour cette tragi-comédie.
Iphigénie d’Europe se déroule de nos jours dans une entreprise informatique. Achille, son président, se voit proposer la veille de son mariage avec Hélène une alliance avec un de ses concurrents Jan Patrocle. L’objectif est in fine de conquérir le marché chinois. Hésitant d’abord, Achille finira, sous la pression d’Hélène, par accepter une fusion amicale. Ce sera le départ d’une catastrophe qui balaiera sur son passage destins, rêves et espoirs. Emportés par la fièvre de l’argent et du pouvoir, à l’époque du libéralisme triomphant, chaque personnage montrera finalement son vrai visage : le visage de ce que l'on pourrait nommer "des animaux économiques" !
Au cœur de cette lutte, il y a aussi un double triangle amoureux – Achille-Hélène-Jan Patrocle d'une part et Hélène-Iphigénie-Ulysse d'autre part – triangle dans lequel l’argent est l’épicentre.
Cette tragi-comédie est autant une réécriture de la Guerre de Troie qu'un hommage au théâtre, hommage où le pastiche n’est jamais très loin : de la tragédie classique au théâtre de l’absurde en passant par la comédie musicale, la poésie homérique, la création contemporaine (Joyce, Beckett ou Pinget), la danse ou la farce. Le chant épique côtoie la comptine et la lamentation amoureuse peut surgir après une déclaration des plus prosaïques, sur une recette de cuisine par exemple.
Iphigénie d’Europe a été commencée en octobre 2003 et terminée en 2007.
Iphigénie d’Europe est publiée chez Manuscrit.com.