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  • Bientôt, sortie d’un inédit d’Astérix

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    Quelques mois après la mort d’Uderzo, un inédit – peut-être le premier d’une série ? – on apprend la sortie d’un inédit des aventures du plus célèbre des Gaulois. Le Menhir d’Or, de Goscinny et Uderzo, sortira en librairie le 21 octobre aux éditions Albert René.

    Vendue pour la première fois sous la forme d’un livre-disque en 1967, cette aventure unique est devenue quasiment introuvable et n’a jamais été publiée en album.

    C’est ce petit bijou, imaginé par les deux papas d’Astérix et Obélix, qui est à redécouvrir. Les passionnés et collectionneurs se précipiteront sans aucun doute sur cet inédit.

    Au village, l’agitation règne : Assurancetourix a décidé de participer au célèbre concours de chant des bardes gaulois pour remporter le menhir d’or. Pour le protéger dans cette compétition suivie de près par les romains, Astérix et Obélix sont chargés de l’accompagner : ils ne doivent pas quitter Assurancetourix des yeux ; quitte à y perdre une oreille !

    Des illustrations scannées à partir du livre-disque de 1967

    Ce nouvel album illustré propose une nouvelle mise en page avec une pagination plus forte. Quelques mois avant son décès, Albert Uderzo a pu superviser fin 2019 le travail de restauration.

    Partant des illustrations scannées à partir du livre-disque de 1967, les collaborateurs historiques d’Albert Uderzo ont dû faire appel à tous leurs talents druidiques pour en restaurer les dessins conformément à la volonté du cocréateur d’Astérix. Le plus difficile : supprimer la trame d’impression tout en préservant l’intégrité du merveilleux encrage d’Albert Uderzo. Effectuant également une mise à jour et un étalonnage des couleurs fidèle au rendu vintage original, ils ont offert au Menhir d’Or un bain de jouvence qui lui permettra de rassembler fans historiques et nouvelles générations de lecteurs.

    De plus, pour compléter l’expérience et permettre aux fans de toutes générations de vivre cette aventure comme l’avaient imaginé ses créateurs, un enregistrement audio de ce récit est également disponible gratuitement au téléchargement sur Internet.

    cette histoire imaginée par les créateurs rejoint définitivement le patrimoine d’Astérix dans la collection des récits illustrés : Les XII Travaux d’Astérix, Comment Obélix est tombé dans la Marmite et Le Secret de la Potion magique.

    À découvrir, lire et bien sûr conserver précieusement.

    René Goscinny et Albert Uderzo, Le Menhir d’Or, éd. Albert René, 48 p.
    Sortie le 21 octobre 2020
    https://www.asterix.com
    https://www.facebook.com/asterixobelixofficiel

    Voir aussi : "La BnF rend hommage à Albert Uderzo"

    Astérix® - Obélix® - Idéfix®
    © 2020 Les Éditions Albert René / Goscinny – Uderzo

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  • Nathalie Stettler-Lapeyrade marche ses rêves

    Nathalie Stettler-Lapeyrade expose tout le mois d’octobre à la Galerie Ephémart de Montargis ses huiles et ses poteries.

    "Enfant déjà, j'adorais me perdre et créer seule dans mon univers... Je laisse errer mon âme entre couleur et formes jusque d'autres dimensions ou je peux m'exprimer librement, sans retenue", dit-elle au sujet de son parcours.

    Exposition tous les jours sauf le dimanche après-midi, de 14H à 18H30 et le samedi de 9H à 18H30.

    Exposition "Nathalie Stettler-Lapeyrade" à la Galerie Ephémart, Montargis
    Tous les jours sauf le dimanche après-midi, de 14H à 18H30 et le samedi de 9H à 18H30
    35 rue Dorée 45200 Montargis
    Association Marcher ses Rêves
    https://nas-art.net/index.html
    https://www.facebook.com/marchersesreves

    Voir aussi : "Mes sœurs, mes semblables"

    © Nathalie Stettler-Lapeyrade

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  • Concrètement, Mona San

    Le dernier opus de Mona San, ~p+n|d•r~ (prononcez "Pandor", comme le premier morceau), est un album concept désarçonnant, démarrant avec de la musique concrète (Pandor) avant une incursion dans du rap électro : Rollin, en featuring avec Will Metty et Dior Dean, S◊ £asy ou Spin It Back (feat. CHEF). Le musicien dit se placer dans la lignée d'artistes comme Rone, Fakear ou Superpoze.

    Mona San c’est de l’électro repoussé dans ses derniers retranchements, dans des titres brefs (le plus long dure 3:36), et partant chercher des constructions sonores jusque dans des horizons lointains (Skinned, Cicle). La musique de ce surdoué ne s’embarrassant pas de facilité, est à l’image du titre de ses morceaux (£verl+sting l●ve, sw££t Dr£▲m Fr◊m th£ ◊th£r sid£, ~+l●iceburning ~+l●~) : déstabilisant et assez unique (Ambr Watr).

    Derrière le projet Mona San, né en 2012, se cache Julien Perrigault, un compositeur et performeur français de 20 ans, lauréat de deux concours de remixes organisés par le label macédonien Paragon Records. Il a également travaillé en tant que Sound Designer dans le cinéma (Beyond Your Lips). Maniant le zen (£verl+sting l●ve) et la grandiloquence des rythmiques et des boucles venues d’on ne sait où (Innerbl◊◊m), le jeune musicien propose un opus futuriste, pour ne pas dire extra-terrestre (~+l●iceburning ~+l●~).

    Le hip-hop n’est pas en reste, à l’exemple du bref et cinglant sw££t Dr£▲m Fr◊m th£ ◊th£r sid£ ou de 01.20. ◊il, où le rythme trip hop se termine en vague électro se dépliant inexorablement.

    Above The Blue Wall, titre sans doute le plus intéressant, fait mixer avec bonheur chant traditionnel, électro et hip-hop, avant une autre pépite que nous avons repérée : Lee (Mona San Rework), aux accents électro-pop bienvenus, lorgnant du côté de Petit Biscuit.

    La deuxième partie de l’album est singulièrement apaisée : après l’étrange Lee, place à de l’électro avec Endless (feat. Krose) matinée de pop-rock.

    Concrètement, une grosse claque que cet album.

    Mona San, ~p+n|d•r~, Alter K / Pschent, 2020
    https://www.facebook.com/monasanmusic
    https://www.instagram.com/mona_san

    Voir aussi : "Brassage musical"

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  • C’est excellent !

    "L’excellence française ne connaît pas de barrières… Mettre en lumière les parcours de ses représentants est mon leitmotiv" : voilà ce que dit Judith Beller, aux manettes de l’émission hebdomadaire C’est Excellent ! sur Sud Radio, tous les dimanches à 19 heures.

    Pour sa seconde année, Judith Beller embarque son public sur les chemins de l’excellence française. L’émission bien nommée donne la parole sans contraintes pendant 52 minutes à des créateurs qui ont pris le risque de l’excellence. La journaliste et animatrice propose chaque dimanche une plongée dans l’intimité des métiers et de ceux qui les incarnent, à travers le regard d’une personnalité médiatique.

    Parmi les invités VIP déjà venus figurent Alexandre Arcady, Olivier Marchal, Mazarine Pingeot, Richard Malka, Caroline Fourest, Aurélie Saada, Claire Chazal, Bob Sinclar, Bernard de la Villardière, Ramzy ou Charles Berling. Le 11 octobre, Judith Beller recevait l’auteure Karine Tuil et le metteur en scène, comédien, réalisateur Jérémie Lippmann.

    Le dimanche 18 octobre, C’est Excellent ! recevra Yamina Benguigui et le dessinateur Jul.

    À ne surtout pas manquer.

    C’est Excellent ! de Judith Beller
    Sud Radio, le dimanche à 19 heures
    émissions disponibles en podcast
    https://www.sudradio.fr/emission/cest-excellent-48
    https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel

    Voir aussi : "Quand on partait de bon matin, quand on partait sur les chemins..."

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  • Parisiennes et Parisiens dans l'exode

    Le jeune Musée de la Libération de Paris – musée du général Leclerc – musée Jean Moulin, propose jusqu'à la fin de l'année sa première exposition temporaire consacrée à l'exode des Parisiens, lors de la Guerre Eclair de juin 1940. Un événement tragique dont nous fêtons cette année le 80e anniversaire. En déclenchant sa conquête européenne, l'armée allemande pousse sur les routes 6 millions d'hommes, de femmes, d'enfants et de vieillards sur les routes. Il y a des Belges, des Luxembourgeois et des Français. Parmi ceux-ci, 2 millions de Parisiennes et Parisiens se déplacent en masse vers le sud ou l'ouest de la France. Un nom biblique est donné à cet événement : l'Exode.

    Sylvie Zaidman, directrice du musée et co-commissaire de l’exposition, nous éclaire au sujet de cette période : "Ces quelques jours de bouleversement, parfois de panique lorsque surviennent des mitraillages par des avions allemands, prennent fin peu à peu après l’annonce par le maréchal Pétain de la demande d’armistice. Il faut alors composer avec une nouvelle réalité, celle de l’Occupation. Le traumatisme de l’exode est donc lié à celui de la défaite française. Nous parlons là d’une histoire d’humiliation nationale, car la fuite militaire et civile devant l’ennemi n’est pas un souvenir glorieux. Si l’exode se révèle peut-être un moment de solidarité pour certains, pour d’autres c’est un temps dramatique de perte de repères, de disparition de proches, de confusion."

    Un vrai traumatisme

    Entre le 3 et le 14 juin 1940, la panique gagne rapidement les Parisiens dont les trois quarts décident de s’éloigner au plus vite de la capitale. Les photographies et les témoignages montrent les routes encombrées de voitures, de vélos, de brouettes où sont entassées quelques affaires rassemblées à la hâte. La panique se répand dans la population, depuis les notables jusqu’aux commerçants, laissant une ville presque désertée.

    Le 14 juin 1940, les Allemands entrent dans Paris. Le 17, le nouveau chef du gouvernement, le maréchal Pétain, annonce qu’il va demander l’armistice. Cette déclaration laisse entrevoir la fin de la guerre et rassure de  nombreux Français. Cependant en quelques semaines, les structures politiques et sociales de la France ont volé en éclat.

    L'objet de cette expo est d'expliquer, mettre en perspective et montrer l'importance considérable de cet événement. L’accent est mis ici sur une expérience collective faite de millions d’histoires individuelles, mêlant les Parisiens aux autres Français, aux Belges ou aux Luxembourgeois. En s’appuyant sur des films d’époque, des témoignages, des dessins - d’enfants notamment - et des archives, les commissaires ont choisi de plonger le visiteur dans cette période singulière de l’histoire. Il découvre peu à peu le sentiment d’urgence qui saisit les Parisiens et leur départ en catastrophe pour se retrouver dans la masse de réfugiés qui déferle sur les routes. L’exposition apporte un éclairage sur le sort des réfugiés et la fragilité des institutions. Un vrai traumatisme.

    "Ce qui subsiste massivement de ce moment, en revanche, c’est une mémoire extraordinaire. À l’histoire collective des Parisiens et des Français, partagée par les Belges et les Hollandais, s’ajoutent en effet de multiples histoires intimes", ajoute encore Sylvie Zaidman.

    Il ne reste plus que quelques semaines avant de découvrir cette exposition temporaire mémorable à plus d'un titre.

    Exposition "1940 : des Parisiens dans l’exode"
    Musée de la Libération de Paris – musée du général Leclerc – musée Jean Moulin
    Jusqu'au 13 décembre 2020
    4, avenue du Colonel Rol Tanguy
    Place Denfert Rochereau
    75014 Paris
    https://www.museeliberation-leclerc-moulin.paris.fr

    Voir aussi : "Au 21 rue la Boétie"

    Fuite, mai-juin 1940 © LAPI, Roget Viollet

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  • Brassage musical

    Je vous parlais il y a peu des Headshakers et de leur jazz mêlé de funk. Voici, avec l’album Higher, le troisième album des Big Funk Brass, une autre de ces rencontres musicales passionnantes où se mêlent le jazz (Rain, Little Man), le son des brass-bands de la Nouvelle Orléans, le funk (Move Your Fonky Booty) et même le hip-hop (Rock The Stage). Pour enregistrer cet album intégralement autoproduit, le groupe a élu domicile au studio Gil Evans à Amiens.

    Big Funk Brass montre qu’il n’a peur de rien lorsqu’il s’avance sur des terres à la fois si proches et si lointaines. Outre Teach You To below, en featuring avec FP, très dansant et rythmé, le groupe vient se mesurer avec du jazz cool et à la rigueur impeccable (Caol Ila).

    Après un début sous les promesses du rap, Higher s’impose comme ce qu’il est : un album de jazz chatoyant, coloré, joyeux et dense (Fireworks, Manhunt, Lucky Fucker).

    Pour Higher Funk le groupe des Big Funk Brassss s’est carrément offert la collaboration de Ben L’Oncle Soul. 

    L’album se termine par Make Your Choices, avec cette fois un jazz tournant les yeux vers les caraïbes.

    Big Funk Brass, Higher, 202
    http://bigfunkbrass.fr
    https://www.facebook.com/bigfunkbrass

    Voir aussi : "Les doigts dans le nez"

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  • Hypertension pour le frigo

    Pour vous présenter cette chronique de L’‎Œil du frigo sur le film d'action Hyper Tension, je vous propose de jeter un coup d’œil sur le synopsis : Tueur à gages, Chev Chelios apprend que son rival Verona lui a injecté un poison qui bloque les récepteurs d'adrénaline. Pour survivre, Chev doit être en perpétuel mouvement, car si son taux d'adrénaline diminue trop, son cœur risque de s'arrêter... Eloquent, non ? Et maintenant, faisons un petit tour dans la cuisine.

    Hyper Tension, attention à ne pas voir si vous êtes en convalescence sur votre canapé. Une marche forcée sur la vie. Le grand Jason Statham y joue un rôle fabuleux sous perfusion d'adrénaline. Forcément lorsqu'on a besoin d'énergie pour vivre on aboutit dans un frigo. Ici , c'est simple : c'est un frigo de supérette dévalisé par Jason qui vide carrément toutes les boissons énergétiques de la chambre froide. Mais pour qu'on voit combien nous sommes dans l'urgence, le réalisateur met la tête dans le frigo et toutes les canettes étage après étage disparaissent jusqu'à ce léger moment de pause où le héros en sursis, téléphone. Comme pour être au plus proche de lui nous restons dans le frigo, ça va exploser, ça va partir en vrille, un Statham énervé, ça finit toujours aux urgences, même pour un frigo.

    Ici, il épargne le rafraichisseur de boissons énergétiques, manque de temps, pour ne pas mourir il doit rester, énervé, excité, en hyper tension constante. Autant vous dire tout de suite qu'il ne serait pas bon de remplir votre frigo des toutes ces boissons et de les boire comme lui ! Vous risquez l'infarctus généralisé. Pensez à équilibrer le remplissage de votre frigo afin que votre santé soit la plus agréable possible à vivre. Quel serait d'ailleurs votre fantasme le plus excitant pour le remplissage de frigo ? Du fromage à tous les étages ? Des bières? Des steaks XXL, des corps démembrés... J'hésite dans le film en tout cas il y un peu de tout.

    Si vous choisissez mal, vous risquez comme Jason, d'être en sursis de vie et de courir après chaque seconde d'énergie. Ne pas s'endormir sous peine de mourir, voilà le défi qui a conduit le grand Jason à mettre la tête dans ce frigo.

    Autour de cette idée minimaliste, Hyper Tension vous place sous perfusion de Red Bull ou autre substance excitante dans un film haletant , dingue, fou, cru, sans fioriture à voir absolument en pensant qu'il y a bien un Hyper Tension 2 dont je ne sais rien au niveau du frigo !

    Bon film.

    ODF

    Hyper Tension, film d'action américain de Mark Neveldine et Brian Taylor
    avec Jason Statham et Amy Smart,
    2006, 84 mn

    Voir aussi : "L’‎Œil du Frigo débarque sur Bla Bla Blog"
    "hyper Tension Frigo"
     

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