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loiret - Page 2

  • Bas les masques à Montargis

    La pièce à succès Bas les Masques pose ses valises à Montargis le 19 février à 15H00 dans le magnifique décorum de la Salle des Fêtes.

    La comédie de Bruno Druart et Patrick Angonin – devenus des auteurs incontournables de la pièce de boulevard, met en scène Patrice Laffont, Tonya Kinzinger, Dominique de Lacoste, Loise de Jadaut et Mike Fedee.

    Les ingrédients de cette œuvre ? Un crime, une enquête policière et des personnages séduisants et avec un solde caractère. 
    Dans la cave d'un in immeuble bourgeois, un homme est retrouvé assassiné. Le commissaire Lucas est chargé de l’enquête. La dernière avant sa mise à la retraite. Tout se jouera dans l’appartement du dernier étage de l’extraordinaire Madame "Dany". Un a un, les personnages y viendront tisser les fils invisibles de l’affaire.Le commissaire découvrira que plusieurs occupants des lieux ont eu un lien direct avec la victime et que quelques uns semblent déjà se connaître entre eux.

    L’énigme se complique et s’annonce difficile pour l’enquêteur qui devra faire face à des gens coriaces, farfelus, machiavéliques, opportunistes qui ne vont pas le ménager. Une comédie policière, du théâtre polar, plein d’humour, de rebondissements, de quiproquos, de personnages déjantés….en quête de la vérité !

    Ce sera à découvrir à Montargis, à la Salle des Fêtes, le 19 février à 15 heures.

    Bas les masques, comédie policière de Bruno Druart et Patrick Angonin, avec Patrice Laffont, Tonya Kinzinger, Dominique de Lacoste, Loise de Jadaut et Mike Fedee
    Montargis, Salle des Fêtes, le 19 février à 15 heures
    http://www.agglo-montargoise.fr/spectacles/salle-montargis-spectacles-agglo-montargoise.php

    Voir aussi : "Gâtinais gratiné"

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  • La peur est-elle mauvaise conseillère ?

    Le café philosophique de Montargis proposera une nouvelle séance le vendredi 20 janvier 2023 au Belman, à 19 heures. Le débat portera autour de ce sujet : " La peur est-elle mauvaise conseillère ?"

    S'il est un sentiment partagé par tous les hommes c'est bien la peur. Ce réflexe ; au départ primaire et que l’on retrouve chez les animaux, est une réponse à une situation de danger ou à une impression de danger. La peur serait d'abord un mécanisme de défense. Pour autant, l'adage populaire affirme que la peur est mauvaise conseillère, en ce qu'elle pourrait constituer un frein à nos actions.

    Qu'en est-il vraiment ? La peur pourrait-elle constituer un problème majeur pour nos existences, voire une aliénation ? Aurait-elle pour défaut principal de nous opposer au progrès et de nous empêcher d'aller vers les autres ? Il sera proposé aux participants de définir ce que l'on entend par peur. Y a-t-il des peurs communes pour tous les êtres humains ? La peur peut-elle être bénéfique et, justement, "bonne conseillère" ? Il sera également proposé de discuter sur l'angoisse dans l'existentialisme. 
    N'ayez donc pas peur de vous rendre au Belman à Montargis (entrée par l’Hôtel de France), le vendredi 20 janvier 2023 au Belman, à 19 heures.

    La participation libre et gratuite. Il est seulement demandé aux participants de commander au moins une consommation. 

    Café philosophique de Montargis
    "La peur est-elle mauvaise conseillère? "
    Le Belman, Hôtel de France, vendredi 20 janvier, 19H

    Voir aussi : "Sait-on ce que l’on désire ?"

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  • Méchant coup de blues

    Revoilà Sylvain Gillet dans un polar dont il a le secret. Avec Venenum (éditions Ramsay), l’auteur montargois mène tambour battant un récit sombre à souhait.

    Le héros de ce polar est familier des lecteurs de Sylvain Gillet puisqu’il s’agit du guitariste de blues Abel Diaz. Lorsque commence le récit, le musicien, aussi usé qu’un animateur télé sorti de l’ORTF et blasé qu’un fils à papa obligé de diriger la boîte familiale avec des biftons plein les poches, se trouve embarqué dans une croisière au long cours qui tourne court, justement.

    Notre musicien de blues a été recruté avec trois autres confrères pour des représentations sur flot. Leur public ? Des salariés d’une multinationale biomédicale qui a offert à ses salariés – pour la plupart, des visiteurs médicaux – un voyage corporate. Voilà donc notre gratteux embarqué dans une drôle de galère, car son confrère et vieil ami Orville Montgomery est retrouvé mort. L’accident semble évident, mais pas pour Abel. Son pote amerloque vaut bien une petite enquête. 

    On peut remercier d’emblée Sylvain Gillet d’avoir pensé à faire un sort au monde des visiteurs médicaux

    On peut remercier d’emblée Sylvain Gillet d’avoir pensé à faire un sort au délicieux et très éthique monde des visiteurs médicaux et de ses labos à l'éthique aussi large qu'un string de Brésilienne dans un tripot de Copacabana. L’auteur ne fait pas dans la dentelle lorsqu’il épingle ces léviathans et autres avortons du néolibéralisme. Le CEO Léon Tusk est croqué avec férocité et un plaisir certain, faisant aussi de ce PDG à mi-chemin entre Bernard Tapie et Donald Trump un suspect idéal autant qu’une victime collatérale.

    Pour pimenter ce polar, une intrigue parallèle est tricotée aux petits oignons autour de meurtres de prostituées entre Bourges et Montargis. Les deux histoires vont bien entendu se rejoindre.

    Venenum se veut un polar décomplexé, avec un héros solitaire que l’écrivain avait mis en scène dans une précédente enquête (Ludivine comme Édith). Sa guitare Linda – douée de paroles – s’avère une compagne très "attachiante". Un autre personnage, humain et – court – sur pattes fait une réapparition : l’agent artistique Max Malakian, déjà présent dans Commedia Nostra.

    Abel Diaz parviendra bien entendu à résoudre (presque) seul cette énigme retors. Le bluesman finira vengé mais finalement pas si indemne que ça. Sale temps pour les artistes sur le retour. 

    Sylvain Gillet, Venenum, éd. Ramsay, coll. Polar, 2020, 308 p.
    https://sylvain-gillet.fr
    https://www.facebook.com/sylvain.gillet.372

    Voir aussi : "Les actrices rêvent et se couchent tard la nuit"
    "Du talent à mort !"
    "Décollement de la routine"

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  • Gâtinais gratiné

    Dans la grande famille des cabarets, Bla Bla Blog ne pouvait pas ne pas parler du Diamant Bleu, un lieu de fête sexy qui a ouvert ses portes il y a déjà vingt ans en plein cœur du Gâtinais, à Barville-en-Gâtinais. C'est le cabaret du Loiret par excellence, à une heure de Paris et quelques kilomètres de Montargis et qui n’entend pas se laisser impressionner par les Moulin Rouge, Crazy Horse et autres Paradis Latin.

    Non sans raison, Le Diamant Bleu peut se targuer de porter l’étiquette de "plus grand cabaret de Province".

    "Plus grand cabaret de Province"

    Le rire, le burlesque, la dérision, l’émotion, la créativité, le glamour, les strass et paillettes sont les ingrédients d’une programmation locale autant qu’internationale. Douze artistes internationaux d’Ukraine, de Russie ou d’Italie se produisent sur scène pour des numéros mêlant la danse, le chant ou le transformisme.

    Parmi les vedettes de ces spectacles, il faut citer le metteur en scène Patrick Meyer, la meneuse de revue Bégonia, mais aussi Adrien, Amandine, Lady Bain Marie, Yoan, Alison, Caroline, Chloé, Elise, Julien, Céline, Ivan et tou·t·e·s les autres.

    Pas de doute : la magie du B’go Cabaret by Le Diamant Bleu entend montrer que le Gâtinais est capable de gratiner nos soirées. 

    "Mascarade 3", nouveau spectacle proposé par le B’go Cabaret,
    Le Diamant Bleu
     60 Grande Rue – 45340 Barville-en-Gâtinais
    https://www.le-diamant-bleu.com
    https://www.facebook.com/cabaretlediamantbleu
    https://www.instagram.com/lediamantbleuofficiel

    Voir aussi : "À quoi bon voyager ?"
    "Une danseuse bionique au Crazy Horse"

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  • À quoi bon voyager ?

    Une séance spéciale est proposée par le café philosophique de Montargis qui organisera son prochain rendez-vous le vendredi 28 octobre prochain à 19 heures à la Médiathèque de Montargis. Cet automne, la Médiathèque organise un cycle consacré à l’aéronautique et intitulé "Carnet de vol". L’occasion est trop bonne pour l’équipe du café philo qui organisera un débat portant sur cette question : "À quoi bon voyager ?"

    "Les voyages forment la jeunesse", dit l’adage, Et il semble en effet que l’éducation des élites européennes a accordé une grande place à l’importance de découvrir des pays et des cultures à travers des voyages. Le voyage n’aurait-il que des vertus ? Et d’abord, qu’entend-on par "voyager" ? Que cherche-t-on dans le voyage ? Le dépaysement ? L’extraordinaire loin de chez soi ? Sortir de la routine d’un quotidien pesant ? Voyager est-ce forcément partir à l’aventure ? Les participants du café philo pourront tout aussi débattre du nomadisme, du tourisme et de la recherche de l’inattendu, source de questionnements et d’étonnements – qui sont au cœur de la philosophie !

    Rendez-vous donc à l’Atrium de la Médiathèque de Montargis pour cette 93e séance du café philo, le vendredi 28 octobre 2022 à 19 heures.

    La participation sera libre et gratuite.

    http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com
    https://agorame-pom.c3rb.org/rendez-vous

    Photo : Pexels - Jackson Toev

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  • Les Simonet aux Tanneries d'Amilly

    "Les registres du jeu" : le cycle d'expositions organisées par le centre d'art contemporain des Tanneries d'Amilly (Loiret) commence ce 8 octobre avec le couple de sculpteurs Marthe et Jean-Marie Simonnet.

    Nous avions parlé sur ce blog de ce couple d'artistes immensément doués, mais aussi novateurs lorsqu'ils ont jeté leur dévolu sur des matériaux synthétiques, utilisant des modules basiques aux formes douces, harmonieuses, mathématiquement et techniquement maîtrisées.

    Les reliefs infinis ou illimités, engagés il y a plus de 30 ans – et dont les toutes dernières formes ont été réalisées pour l’exposition – en sont une élégante expression. Marthe Simonnet dirait qu’au terme de cette mise en jeu, le féminin se fait le prolongement du masculin devenu lui-même prolongement du féminin : si les formes modulaires produites s’emboitent et s’épousent – clin d’œil au couple d’artistes, riches de 50 ans de créations artistiques menées à 4 mains – pour former un hexaèdre régulier.

    Il reste au public à découvrir les créations exceptionnelles de ces joueurs facétieux que sont Marthe et Jean-Marie Simonnet. Cela se passera aux Tanneries d'Amilly, du 8 octobre au 18 décembre 2022.

    Exposition "Les Simonnet", Les Tanneries, Amilly (45)
    Du 8 octobre au 18 décembre 2022
    https://www.lestanneries.fr/exposition/les-simonnet

    Voir aussi : "Les Simonnet, en pleine(s) forme(s)"

    Photo : Marthe et Jean-Marie Simonnet, Vue de l’exposition "Les Simonnet"
    Galerie Haute - Les Tanneries – CAC, Amilly, 2022

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  • Vite, les chats

    Pendant quelques jours encore, Andreea Gherghinesco, dont nous avions parlé sur Bla Bla Blog il y a plusieurs mois, expose à Gien (Loiret) à la Galerie Éphémère jusqu’au 15 mai prochain.  

    C’est l’occasion de découvrir ou redécouvrir cette artiste à l’univers singulier. Son style figuratif, immédiatement attachant et reconnaissable, frappe par sa fausse naïveté. Outre ces personnages d’enfants ou encore l’artiste elle-même, ce sont les chats qui peuplent principalement son œuvre.

    Dans une incroyable série animalière, des félins anthropomorphes, vêtus de leurs plus beaux atours, pensifs, fumant, interpelant le spectateur, seuls et souvent nimbés d’une mélancolie à la Edward Hopper, prennent possession de la galerie giennoise.

    Le passant ne devra pas hésiter à passer les portes de la Galerie Éphémère pour découvrir les toiles colorées, fauvistes et comme frappées par l’influence d’un certain Vincent Van Gogh.

    Et puis, il y a aussi ces chats, attachants, mystérieux et libres. Ils nous regardent, nous invitant à un instant comme suspendu du temps. Un espace pour eux leur ait même réservé à l'entrée... Mais je ne vous en dis pas plus.

    Vite, c'est à découvrir à Gien jusqu'au 15 mai prochain !

    Andreea Gherghinesco à la Galerie Éphémère
    Du 2 au 15 mai 2022
    21, rue Gambetta, 45500 Gien
    Tél. 06 79 05 07 41
    https://www.facebook.com/andreea.gherghinescu.1

    Voir aussi : "Des émaux, des choses et des chats"

    © Andreea Gherghinesco

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  • Des émaux, des choses et des chats

    L’exposition qui se tient cette semaine à Ouzouer-Sur-Trezée s'intitule : "Quelque part sur la Trézée". Voilà un nom qui sonne bon l’aventure, les grands espaces et les contes fantastiques.

    On peut, du reste, dire que le conte fantastique n’est pas absent dans cette passionnante exposition rassemblant des œuvres de Frédéric Gardinier, Andreea Gherghinesco, Mifamosa, Thomas et Alex Popovici et Jean-Marie Neveu. Ces artistes de la région de Gien (Loiret), dont le plus jeune a seulement 13 ans, proposent des créations à la fois hétéroclites et d’une singulière cohérence : peintures à l’huile, collages, mosaïques en émaux de Briare, techniques mixtes et street art se répondent et traduisent à leur manière l’esprit bouillonnant de ces créateurs dans leurs "narrations graphiques".

    Jean-Marie Neveu propose plusieurs séries, dont la première, "Les arbres", capte à coup sûr le spectateur. Ces végétaux anthropomorphes, que l’on croirait sortis d’un conte fantastique ou d’un récit de Fantasy, évoquent, dans des scènes mi-naïves mi-drolatiques, les sept péchés capitaux… mais aussi le Covid. À côté d’autres tableaux représentant le pont-canal de Briare, Jean-Marie Neveu présente une série chaleureuse et colorée consacrée aux gitanes.

    Une peinture de Frédéric Gardinier domine la première salle et hypnotise le regard du visiteur : le majestueux nu ("Nue assise") fait figure d’envoûtante passerelle entre classicisme et abstraction lyrique.

    L’ambition d’une exposition ne se donnant aucune limite

    Cette œuvre, tout comme ceux d’Alex Noe Popovici et MifaMosa traduisent l’ambition d’une exposition ne se donnant aucune limite. Là où le premier propose des reproductions et des photographies de ces créations de street art en émaux de Briare (l’artiste a "sévi" à Lyon, à Orléans, à Blois… mais aussi à Ouzouer-sur-Trézée), le second propose des mosaïques, toujours en émaux de Briare, parlant aussi bien de choses vues ("Yesterday we saw our future", "Giuseppe ou la noblesse à vol d’oiseau") que de réflexions existentielles et poétiques ("Le ciel par-dessus le toit" , d’après le poème de Verlaine). Impossible de ne pas parler non plus des formidables collages de Thomas Walter Popovici : bon sang ne saurait mentir.

    La seconde salle est, pour l’essentiel, consacrée aux créations d’Andreea Gherghinesco. Les séries de cette artiste convoquent tour à tour le figuratif influencé aussi bien par Van Gogh ou Gauguin, l’expressionnisme, le symbolisme ou le surréalisme. Bien dans son époque, Andreea Gherghinesco parle de choses vues, vécues ou rêvées dans des tableaux aux techniques mixtes. Elle y parle de l’enfance, de douleurs indicibles (la poignante série "In my solitude"), de visions étranges, telle cette enfant au divan mauve et au chat, tout en proposant de passionnants portraits figurant dans son panthéon (Gaston Bachelard, Albert Camus, Georges Brassens, Kurt Cobain, Fujita, Nina Simone mais aussi Nick Cave).

    Le spectateur s’arrêtera sans doute sur ces étonnants, touchants et passionnants portraits de chats. L’artiste les représente anthropomorphisés, fiers, dédaigneux, drôles, rêveurs ou séducteurs, parfois fumant ou posant en robe XIXe siècle, en tenue de marin ou en gentlemen portant beau.

    Dans les peintures d’Andrea Gherghinesco, l’onirisme le dispute au réalisme et au symbolisme. Les couleurs tourbillonnent. Les personnages – pour certains, des chats, encore et toujours – surgissent derrière des feuillages foisonnants. Quant aux paysages, ils sont aussi menaçants que les soleils et les cieux étoilés.

    Cette seconde édition de  "Quelque part sur la Trézée" est visible à la Salle des Fêtes d’Ouzouer-sur-Trézée jusqu’au 7 novembre. Il faut s'y précipiter, sans attendre.

    Exposition "Quelque part sur la Trézée #2", du 1er au 7 novembre  2021
    Salle des Fêtes, Place De La Libération, Ouzouer-Sur-Trezée (45)
    https://www.facebook.com/groups/668517513215796
    https://openagenda.com/loiret-tourinsoft

    Voir aussi : "Stars cheap troopers d’Adrien Vinet"
    "Concerts en poche"

    Illustrations :  Andrea Gherghinesco

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