Cinéma ••• Exterritorial
Également chez Hexagone

Retrouvez également le bloggeur dans le magazine Hexagone, le magazine trimestriel de la chanson.
Pour le numéro de cet été, je signe une première chronique sur le dernier album de Barcella.
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Pour le numéro de cet été, je signe une première chronique sur le dernier album de Barcella.
Le bloggeur parle de l'auteur. Puisque l'on n'est jamais si bien servi que par soi-même, cet article entend s'arrêter sur une récente publication chez ShortEdition, le spécialiste web des textes courts. Une de mes nouvelles, Opération Orphée, est maintenant disponible sur ce lien et accessible gratuitement.
Opération Orphée concourt également pour le prix de la nouvelle de décembre 2015.
J'ai envie de m'arrêter sur l'histoire de ce texte, écrit en 2009, et qui s'inscrivait dans un projet plus important de recueil de nouvelles sur la mythologie (De Charybde en Scylla). Revisiter des mythes aussi présents qu'Orphée, les Danaïdes, les Furies ou Sisyphe est-il encore possible ? Telle était la démarche et le pari qui a fait l'objet d'un challenge lancé en couple. Un jeu initié par ma femme : "Tu m'écriras un texte sur Orphée et Eurydice, qui se passera en Islande, aux pieds du volcan Hekla. Bonne chance".
Merci, ma chérie... Me voilà bien.
Comment allais-je revisiter ce mythe, sans doute l'un des plus connus et des plus appréciés à travers le temps ? A priori, identifier à un volcan les enfers où Orphée part rechercher son amour paraissait facile. Trop facile. Le lecteur de Jules Verne que j'avais été trouvait en outre dans ce choix une certaine jouissance. Mais il y avait un piège dans cet handicap car l'aller-retour d'Orphée devait, dans mon état d'esprit, s'inscrire dans une revisite complète du mythe. Pour le dire autrement, l'histoire devait être contemporaine, résolument moderne, audacieuse et devant ménager un coup d'éclat dans les dernières lignes. Plusieurs questions se posaient ? Comment (re)traiter - sans maltraiter - ce mythe ? Quel pouvait être la place de la technologie et des sciences ? Comment traiter de l'amour au cœur d'un volcan ? Quel visage pouvaient prendre Orphée et Eurydice ? L'aspect divin méritait-il d'être occulté ? Et comment parler d'amour aujourd'hui, d'une manière inédite ?
Je n'en dis pas plus : ce sera au lecteur de découvrir comment je me suis sorti de ce mauvais pas.
Le bloggueur Fattorius fait un coup de projecteur sur notre éditeur ainsi que sur mon premier polar publié, Il n'y a pas de Requins dans la Loire. Voici le lien de cet article : http://fattorius.over-blog.com/2013/11/une-publicit%C3%A9-pour-mon-%C3%A9diteur.html.
Merci à Fattorius !
Retrouvez dans la vidéo ci-dessous une présentation des éditions suisses de la Plume Noire (http://www.editionlaplumenoire.123.fr) où est paru mon polar Il n'y a pas de Requins dans la Loire.
Dans cette maison d'édition sera publiée mon prochain roman (sortie prévue, sous réserve, courant 2014).
Retrouvez sur ce lien une nouvelle critique de mon premier roman Il n’y a pas de Requins dans la Loire.
Le film Le Grand Retournement de Gérard Mordillat fait son petit effet dans les médias en raison de sa forme : parler de la crise en alexandrin.
Il n'est pas anodin de préciser que ce choix artistique n'est pas inédit : en 2007, je publiais une pièce de théâtre, Iphigénie d'Europe qui parlait de mondialisation et d'économie... en alexandrin. Ce livre est encore disponible, uniquement sur Internet.
Plus de renseignements sur ce lien ou bien sur ce lien.
Cette nouvelle a reçu le 4ème prix au concours Jean-Hugues Oppel de la nouvelle au Salon du Livre de Montargis en 2005.
Les conditions imposées par le concours stipulaient que la nouvelle devait commencer par une citation imposée ("Elle est sa maîtresse depuis trois ans. Il est fou d'elle" tirée du roman L'inattendu de Charles Juliet) et se terminer par une autre citation ("Je suis fou de joie à l'idée de retrouver demain mon village, ma chienne et mes vaches" tirée de L'Année de l'Éveil de Charles Juliet). L'histoire : le narrateur, un jeune garçon, raconte une histoire d'amour peu ordinaire avec une jeune femme, mademoiselle F. Ce n'est que vers la fin de nouvelle que le lecteur découvrira le contexte de cette "idylle" où l'innocence de l'enfance percute de plein fouet la cruauté du monde adulte.
Photo : Dids - Pexels
Cette nouvelle a reçu le 3ème prix au concours Jean-Hugues Oppel de la nouvelle au Salon du Livre de Montargis en 2003.
Les conditions imposées par le concours stipulaient que la nouvelle devait commencer par une citation imposée ("Le rocher ne ment jamais", tiré du roman Ambernave de Jean-Hugues Oppel) et se terminer par une autre citation ("Il repartira comme il est venu, par le fleuve", tiré de Piraña Matador de Jean-Hugues Oppel).
L'histoire : au crépuscule de sa vie, une vieille femme s'assied au pied d'un menhir, Boadigon, qui a accompagné ses jeux d'enfant. Elle se souvient d'une soirée particulière avec sa jeune sœur, soixante ans plus tôt.
Cette nouvelle devrait sortir en librairie au milieu d'un recueil collectif.
Photo : Bruno Chiron