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Hors-série David Foenkinos - Page 2

  • Épitaphe pour Charlotte Salomon

    Ce qui frappe d’emblée dès les premières lignes de Charlotte, que David Foenikinos a publié en 2014, c’est la composition du texte.

    L’auteur a opté pour un texte écrit sous forme de versets. Vrai récit, faux roman, pas tout à fait un poème, on serait tenté de dire que c’est une épitaphe qu’écrit David Foenkinos. Une épitaphe sur 250 pages autour d'une artiste terrassée pendant ses jeunes années, en pleine seconde guerre mondiale.

    Charlotte fait partie de ces œuvres personnelles que l’écrivain français présente ainsi : "Pendant des années, j'ai pris des notes. / J'ai parcouru son œuvre sans cesse. / J'ai cité ou évoqué Charlotte dans plusieurs de mes romans. /  J'ai tenté d'écrire ce livre tant de fois. / Mais, comment ? / Devais-je être présent ? / Devais-je romancer son histoire ? / Quelle forme mon obsession devait-elle prendre ?"

    Mais qui est cette Charlotte en question ? 

    Charlotte est, pour commencer, l’histoire de la peintre Charlotte Salomon et de famille juive allemande, marqués par des tragédies et des suicides – celui d’une tante en 2013 puis de sa mère alors qu’elle est une jeune enfant. La jeune fille, à l’intelligence et la sensibilité développés, est élevée par son père Albert, remarié avec une chanteuse lyrique, Paula Lindberg qui l’élève comme sa propre fille. C’est indirectement grâce à cette dernière que Charlotte rencontre l’homme qui va la marquer durablement, Alfred Wolfsohn, musicologue, professeur de chant et pédagogue exceptionnel.

    Une épitaphe sur 250 pages

    Lorsque les nazis arrivent au pouvoir, la vie devient de plus en plus dure, dangereuse et cruelle pour cette famille juive allemande. Mais c’est aussi au cours de cette période que Charlotte s’ouvre à l’art, et en particulier à l’art pictural.

    La seconde guerre mondiale éclate et Charlotte est envoyée en France, en sécurité croit-on. Elle rejoint sur la Côte d’Azur ses grands-parents maternels, loin d’Albert, Paula et Alfred. Mais ce qui devait être des retrouvailles familiales et un soutien se transforme en cauchemar pour la jeune femme. 

    La vie de Charlotte Salomon est de celle qui a été, à ma connaissance, oubliée. Elle a laissé une œuvre unique et autobiographique, Leben? oder Theater? (Vie ? Ou théâtre ?). On sait que les artistes féminines ont été largement oubliées dans l’histoire de l’art et dans les galeries des grands musées. Le récit biographique et romancé de Charlotte Salomon est un moyen de découvrir cette œuvre totale et personnelle mêlant des centaines de gouaches et d’aquarelles, des textes et de la musique.

    Après avoir lu Charlotte de David Foenkinos, un roman bouleversant jusque dans ses dernières pages, il est certain que la curiosité vous mènera sur les pas de Charlotte. L’écrivain lui a fait la plus belle des épitaphes et le plus beau des hommages.

    David Foenkinos, Charlotte, éd. Gallimard, 2014, 256 p.
    @DavidFoenkinos

    Voir aussi : "David Foenkinos, son œuvre"
    "À la place du mort"

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  • À la place du mort

    Retour à David Foenkinos et au hors-série que nous lui consacrons sur Bla Bla Blog, avec cette chronique sur La Délicatesse ( éd. Gallimard, Folio). Ce n’est pas son premier roman, mais c’est celui a marqué la reconnaissance critique et publique d’un auteur devenu incontournable dans la littérature contemporaine.

    L’intrigue relativement tenue du récit tout comme le choix de personnages qui pourraient être des voisins ou des collègues de travail font de ce livre un vrai petit miracle.

    Nous suivons Nathalie, une jeune femme pétillante, légère, délicate mais aussi à la vie ordinaire et heureuse. Lorsqu’elle croise sur sa route François, avec qui elle décide de vivre sa vie, on se dit que tout réussit à cette Parisienne ("Ils étaient le maillot jaune de l’amour"). D’autant plus qu’un alignement des planètes favorable lui permet d’entrer dans une grande société suédoise, au service de son directeur, Charles Delamain, qui l’a recruté pour son rayonnement ("Il trouvait que cette femme semblait sage") mais aussi pour son attraction.

    Un vrai petit miracle

    Le drame surgit sans prévenir : un accident de la route provoque le décès de François, et voilà Nathalie tétanisée, enfermée dans un chagrin indicible et que personne ne semble pouvoir mettre fin : "Elle ne voulait plus sentir ce regard apitoyé sur elle. Elle voulait se terrer, s’enfermer, vivre dans un tombeau." La jeune veuve parvient à revenir au travail et reprendre un peu de vie sociale, mais le cœur n’y est plus. Charles Delamain, son directeur, mais aussi Chloé, une collègue un peu trop envahissante, tentent de faire sortir Nathalie de son deuil. En vain. Le déclic viendra pourtant d’une autre personne, Markus, un homme effacé, presque invisible, pour tout dire assez ordianire. Un geste gratuit, délicat et inexplicable bouscule subitement l’existence de cet homme et de cette femme si différents.

    Lorsque David Foenkinos a sorti La Délicatesse il y a un peu plus de 10 ans, le terme de résilience était inconnu du grand public. Il s’agit pourtant bien de cela : l’histoire d’une reconstruction en dépit d’un drame insupportable. L’auteur parvient à parler de cette tragédie grâce à un récit singulièrement léger, écrit avec une grande délicatesse, et où les effets de surprise ne manquent pas : passant d’un personnage à un autre (on pense à ces pages consacrées à Charlotte, la conductrice à l'origine de l'accident mortel), il suit pas à pas la route de Nathalie mais aussi de l’irrésistible Markus. David Foenkinos ponctue son roman de digressions sous forme de listes ou de notes de bas de pages – qui seront bientôt une marque de fabrique dans la suite de son oeuvre.

    La Délicatesse a été adaptée au cinéma deux ans plus tard par Stéphane Foenkinos et David Foenkinos en personne, avec Audrey Tautou et François Damiens dans les rôles principaux.

    David Foenkinos, La Délicatesse, éd. Gallimard, coll. Folio, 2009, 210 p.
    @DavidFoenkinos

    Voir aussi : "David Foenkinos, son œuvre"
    "La bibliothèque des auteur·e·s inconnu·e·s"

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  • Bientôt, l'heure du bilan

    Pour bien commencer cette nouvelle année, Bla Bla Blog va bientôt vous présenter son top des chroniques les plus populaires de 2019. Avec des surprises et des succès étonnants, toujours au service d'artistes, d'hommes et de femmes de culture qui ne transigent jamais. Un peu de patience avant de découvrir les articles qui ont marqué un an de Bla Bla Blog.

    Et bientôt, sur ce site, de la musique, des livres, des films et des séries : il sera question du dernier album de Philippe Katerine, des EP d'Abel Orion, de Kara Marni ou de Lou Tavano, du nouvel album de Marc Michel, de jazz, de world music mais aussi de chanson française. Côté littérature, nous nous intéresserons à la véritable bombe qu'est Trip de Lao Tin, ainsi qu'à l'étude éloquente de Benoît Coquard.

    Et bien sûr, nous continuerons notre hors-série sur David Foenkinos et nous continuerons notre voyage dans l'univers du réfrigérateur au cinéma, avec L'Oeil du Frigo.

    A bientôt, et bien sûr excellente année 2020. 

    Photo : Jessica Lewis - Pexels

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  • La bibliothèque des auteur·e·s inconnu·e·s

    david foenkinos,roman,imposture littéraire,bretagne,finistère,crozonC’est une imposture littéraire dont il est question dans Le Mystère Henri Pick (éd. Gallimard). Une imposture à vrai dire imaginaire mais qui n’a rien d’absurde, tant le roman de David Foenkinos paraît réaliste dans sa description du grand et du petit milieu des lettres. Rien ne manque dans ce roman énigmatique dans lequel l’auteur de La Délicatesse a certainement mis pas mal de moments vécus : une jeune éditrice ambitieuse, un écrivain qui rame à faire décoller sa carrière après un premier roman prometteur, un critique littéraire sur le déclin, quelques célébrités littéraires (Michel Houellebecq, Laurent Binet ou François Busnel) et bien entendu un mystérieux auteur nommé Henri Pick.

    L'histoire démarre à Crozon, dans une obscure bibliothèque municipale. Là, son responsable a décidé en 1992 de consacrer un rayon aux manuscrits oubliés, où des écrivains en mal de reconnaissance viendraient déposer leurs œuvres. Aucun comité de lecture pour ces textes refusés : son principe est celui de l’authentique Brautigan Library, créé au début des années 80 dans l’État de Washington.

    C’est dans cette bibliothèque de Crozon que Delphine Despero, éditrice chez Grasset et en vacances dans sa famille finistérienne, découvre ce qu’elle qualifie de "chef d’œuvre" : le livre, un roman, s’appelle Les Dernières Heures d’une Histoire d’Amour et a été écrit par un certain Henri Pick. Ce nom n’est pas inconnu des habitants de ce petit coin de Bretagne car cet homme très discret, décédé deux ans plus tôt, tenait une modeste pizzeria. Or, le manuscrit de cet Henri Pick s’avère intrigant puisque sa veuve ignorait jusqu’à l’existence de ce texte et apprend à l’éditrice qu’elle n’a jamais vu son mari écrire, et encore moins lire. En dépit de ce mystère, Delphine Despero est persuadé d’être en présence d’un nouveau Vivian Maier (1926-2009), du nom de ce photographe dont les clichés n’ont été découverts qu’après sa mort. "Pour Delphine, la comparaison avec Pick était justifiée. Il s’agissait d’un pizzaiolo breton qui, dans le secret absolu, avait écrit un grand roman. Un homme qui n’avait jamais cherché à publier. Cela intriguerait tout le monde, à coup sûr."

    Aussi célèbre et mystérieux que Salinger ou Thomas Pynchon

    Pour intriguer, le roman d’Henri Pick intrigue. La publication de son roman posthume devient un événement littéraire, que les éditions Grasset montent alimentent. Contre toute attente, la publication des Dernières Heures d’une Histoire d’Amour est un triomphe, alimenté autant par le bouche-à-oreille élogieux des lecteurs et des libraires que par les médias qui sont fascinées par cette histoire de pizzaiolo breton devenu aussi célèbre et mystérieux que Salinger ou Thomas Pynchon. Au milieu de cette folie littéraire, un homme est obsédé et dubitatif par l’histoire de ce roman rescapé de l’oubli : Jean-Michel Rouche, critique au Figaro littéraire, décide de mener l’enquête. Et ses pas le mènent, bien entendu, en Bretagne. Qui est réellement cet Henri Pick et est-il l’auteur de son best-seller ?

    Il fallait la malice, la sensibilité et la connaissance du milieu littéraire de David Foenkinos pour écrire l’histoire de cette découverte littéraire. L’auteur de Vers la Beauté choisit la comédie mais aussi l’enquête pour raconter un destin artistique et la mise sur le devant de la scène d’un modeste citoyen qui, en tant normal, aurait été oublié de tous. Mais cette histoire éditoriale et médiatique complètement folle (que l’on pense à la scène d’interview hilarante de François Busnel) est aussi celle d’hommes et de femmes qu’un simple roman transforme : l’ambitieuse et douée Delphine Despero, bien entendu, mais aussi son petit ami Frédéric, le critique littéraire Jean-Michel Rouche, la veuve et la fille de Pick ou la bibliothécaire de Crozon.

    Le Mystère Henri Pick garde la saveur d’un livre énigmatique jusque dans les dernières pages éclairant l’itinéraire d’un manuscrit qui su si bien bouleverser des millions de lecteurs. le roman de David Foenkinos a fait l’objet cette année d’une adaptation de Rémi Bezançon, avec Fabrice Luchini et Camille Cottin dans les rôles principaux.

    David Foenkinos, Le Mystère Henri Pick, éd. Gallimard, coll. Folio, 323 p. 2016
    @DavidFoenkinos

    Voir aussi : "David Foenkinos, son œuvre"
    "Beau et sombre à la fois"

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  • Beau et sombre à la fois

    david foenkinos,roman,modigliani,lyon,musée d’orsay,gardien de muséeVers la Beauté de David Foenkinos débute par un enjeu étonnant : un prestigieux professeur aux beaux-arts de Lyon choisit de postuler pour devenir simple gardien de salles au Musée d’Orsay. Mathilde Mattel, DRH de l’auguste établissement parisien accueille ce nouveau venu avec une très grande perplexité. Qui est cet Antoine Duris ayant choisi un poste sous-qualifié ? Comment expliquer que ce spécialiste de Modigliani accepte cet endroit effacé, même si ses connaissances pointues sur le peintre de Montmartre ne vont pas sans provoquer des remous, par exemple lorsque ce gardien de salles en vient à contredire les propos d’un guide trop sûr de lui. Un bien étrange agent en réalité, seul, et que l’on sent terrassé par une douleur indicible que seule la proximité de tableaux, dont ceux de Modigliani, semble parvenir à apaiser : "Quand il se sentait mal, il allait se promener dans un musée. Le merveilleux demeurait la meilleure arme contre la fragilité." Alain Duris est bien un mystère à part entière, un mystère qui conduit Mathilde à s’y intéresser malgré elle, puis à se rapprocher de lui. Un rapprochement qui les conduit jusqu’à Lyon où s’écrit l’histoire de cet ancien professeur et surtout celle d’une jeune femme de dix-huit ans, véritable réincarnation de Jeanne Hébuterne, la femme et muse de Modigliani.

    David Foenkinos clôt la première partie de Vers la Beauté aux portes de Lyon, avant d’en ouvrir une seconde, consacrée cette fois presque exclusivement à Camille, cette jeune étudiante des beaux-arts, brillante peintre que son travail sur la beauté va singulièrement conduire au drame. "Elle comprenait le puissance cicatrisante de la beauté. Face à un tableau, nous ne sommes pas jugés, l'échange est pur, l’œuvre semble comprendre notre douleur et nous console par le silence, elle demeure dans une éternité fixe et rassurante, son seul but est de vous combler par les ondes du beau."

    Un rendez-vous manqué

    C’est une bouleversante lutte pour la vie que nous conte David Foenkinos, scrutateur de cette beauté qui est celle des beaux-arts. David Foenkinos est un témoin, mais comme l’est également Antoine Duris, ce professeur brillant dont une rencontre impromptue et l’histoire d’un rendez-vous manqué scelle le destin.

    L’écrivain suit avec compassion Camille, autre Jeanne Hébuterne, victime innocente et gâchis humain autant qu’artistique. La deuxième partie de Vers la Beauté sonne comme un chemin de croix douloureux et d’une cruauté indicible. Le lecteur attend le moment où l’auteur parviendra à ressouder les deux parties de son roman. Il le fait en tissant un mince écheveau, sans doute le moins spectaculaire qui soit, mais aussi de la manière la plus réaliste, ce qui accentue d’autant sa dimension pathétique. "Antoine rentra chez lui, et continua de penser à Camille. Quelle jeune femme incroyable. Pendant l'heure passée avec elle, il avait tout oublié. Certaines personnes ont le pouvoir de vous fixer entièrement, totalement, dans une dévotion du présent."

    Le roman se termine par un retour vers cette beauté qui est au cœur du roman, dont le personnage principal est finalement moins cet homme terrassé par l’injustice que par une jeune femme qui a fait de la beauté son combat mais qui en sera également indirectement une victime. "Face à un tableau, nous ne sommes pas jugés, l'échange est pur, l’œuvre semble comprendre notre douleur et nous console par le silence, elle demeure dans une éternité fixe et rassurante, son seul but est de vous combler par les ondes du beau."

    David Foenkinos, Vers la Beauté, éd. Gallimard, 2018, 224 p.
    @DavidFoenkinos

    Voir aussi : "Hors-série pour David Foenkinos"
    "David Foenkinos, son œuvre"

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  • David Foenkinos, son oeuvre

    Avant de commencer notre hors-série sur David Foenkinos et la publication de chroniques sur ses livres, il paraissait logique de lister ses publications : 

    Inversion de l'Idiotie : de l'Influence de deux Polonais, Gallimard, 2002
    Entre les Oreilles, Gallimard, 2002
    Le Potentiel érotique de ma Femme, Gallimard, 2004
    En cas de Bonheur, Flammarion, 2005
    Les Cœurs autonomes, Grasset, 2006
    Qui se souvient de David Foenkinos ?, Gallimard, 2007
    Nos Séparations, Gallimard, 2008
    La Délicatesse, Gallimard, 2009
    Bernard, Les éditions du Moteur, 2010
    Lennon, Plon, 2010
    Les Souvenirs, Gallimard, 2011
    Je vais mieux, Gallimard, 2013
    La Tête de l'Emploi (Richard), J'ai lu, 2014
    Charlotte, Gallimard, 2014
    Le Mystère Henri Pick, Gallimard, 2016
    Vers la beauté, Gallimard, 2018
    Deux sœurs, Gallimard, 2019
    La famille Martin, Gallimard, 2020

    Outre ces romans, s’ajoutent des recueils de nouvelles, de la littérature jeunesse et du théâtre :

    Vu de la Lune, recueil de nouvelles, Gallimard, 2005 
    Des nouvelles de La Fontaine, recueil de nouvelles, Gallimard, 2007
    Ici et Là, ou bien ailleurs, recueil de nouvelles, illustrations de Sroop Sunar, Gallimard, 2014
    Collectif, Bonnes Vacances, recueil de nouvelles, Scripto, Gallimard Jeunesse, 2003
    Le petit garçon qui disait toujours Non, Albin Michel Jeunesse, 2011
    Le Saule pleureur de bonne Humeur, Albin Michel Jeunesse, 2012
    Célibataires, théâtre, Flammarion, 2008
    Le plus beau Jour, théâtre, 2016

    https://www.facebook.com/david.foenkinos
    @DavidFoenkinos
    https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Foenkinos

    Voir aussi : "Hors-série pour David Foenkinos"

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  • Hors-série pour David Foenkinos

    Après le dossier spécial Tatiana de Rosnay qui s’était étalé sur plusieurs mois, c’est David Foenkinos qui fera bientôt l’objet d’un hors-série sur Bla Bla Blog.

    Premiers ouvrages chroniqués ouvriront ce nouveau dossier spécial : Le Mystère Henri Pick et Vers la Beauté.

    https://www.facebook.com/david.foenkinos
    @DavidFoenkinos

    Voir aussi : "Hors-série Tatiana de Rosnay"

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