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film - Page 7

  • Border Line

    Les Cramés de la  Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film Border Line. Il sera visible du 22 au 28 mai 2024. Soirée débat le mardi 28 mai à 20 heures 30.

    Projetant de démarrer une nouvelle vie aux États-Unis, Diego et Elena quittent Barcelone pour New-York. Mais à leur arrivée à l’aéroport, la Police des Frontières les interpelle pour les soumettre à un interrogatoire. D’abord anodines, les questions des agents se font de plus en plus intimidantes. Diego et Elena sont alors gagnés par le sentiment qu’un piège se referme sur eux...

    Border Line, policier espagnol de Juan Sebastián Vásquez et Alejandro Rojas
    avec Alberto Ammann, Bruna Cusí et Ben Temple, 90 mn, 2024
    Titre original : Upon Entry -La llegada
    https://www.cramesdelabobine.org/spip.php?rubrique1446

    Voir aussi : "L’Homme aux mille visages"

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  • Le cinéma indien à l’honneur avec les Cramés de la Bobine

    L’association d’art et d’essai montargoise Les Cramés de la Bobine proposera les 25 et 26 mai un Week-end de cinéma indien à l’AltiCiné de Montargis.  Au programme de ce week-end consacré au cinéma le plus riche sans doute du monde, 5 films : La Saison des Femmes, Rapture, Hôtel Salvation, Agra Une famille indien et Le Monde d’Apu.

    Ce festival commencera le samedi 25 mai à 14 heures avec La Saison des Femmes de Leena Yadav, avec Tannishtha Chatterjee, Radhika Apte et Surveen Chawla. Dans un petit village du Gujarat, quatre femmes osent s’opposer aux hommes et aux traditions ancestrales qui les asservissent. Portées par leur amitié et leur désir de liberté, elles affrontent leurs démons, et rêvent d’amour et d’ailleurs.

    Suivra à 17 heures le drame Rapture de Dominic Sangma. Dans un village du Meghalaya, au nord-est de l’Inde, plusieurs jeunes hommes disparaissent mystérieusement durant la nuit. Alors que les anciens accusent de kidnapping les étrangers de passage, le prédicateur y voit les prémices d’une apocalypse de 40 jours et 40 nuits qui plongera les habitants du village dans l’obscurité. Vu à travers les yeux de Kasan, un garçon de dix ans souffrant de cécité nocturne, les forêts alentour n’ont jamais paru aussi terrifiantes.    

    Le samedi à 20 heures, les Cramés de la Bobine proposera Hôtel Salvation de Shubhashish Bhutiani, avec Adil Hussain, Lalit Behl et Geetanjali Kulkarni. Daya, un vieil homme, sent que son heure est venue et souhaite se rendre à Varanasi (Bénarès), au bord du Gange, dans l’espoir d’y mourir et atteindre le salut Son fils Rajiv l’accompagne. Arrivés dans la ville sainte, les deux hommes louent une chambre à l’Hôtel Salvation, un endroit réservé aux personnes en fin de vie. Le directeur de l’établissement a été formel : au bout de quinze jours, ils devront laisser la place aux nouveaux arrivants.

    Vaiju Naravane présentera les films et animera les débats durant ce week-end

    Le dimanche 26 mai à 14 heures 30, sera diffusé le drame Agra, une famille indienne de Kanu Behl, avec Mohit Agarwal, Vibha Chhibber et Rahul Roy. Guru a une vingtaine d’années, il travaille dans un centre d’appels à Agra, il est fou amoureux de l’une de ses collègues, Mala. Guru habite toujours chez ses parents. Quand Guru annonce qu’il veut se marier avec Mala, et faire de la terrasse sa future chambre, tout bascule. Les frustrations, les fêlures et les haines familiales éclatent au grand jour, symptômes d’une société indienne patriarcale marquée par de multiples tabous.

    Ce week-end indien se terminera le dimanche à 17H30 avec Le monde d’Apu de Satyajit Ray, un classique du cinéma mondial de 1959, avec Soumitra Chatterjee, Sharmila Tagore et Swapan Mukherjee. Calcutta, 1930. Apu rêve de succès littéraire, mais faute d’argent il doit interrompre ses études et affronter le monde du travail. Un jour son ami Pulu l’emmène au mariage de sa cousine. Suite à l’accès de folie du jeune marié, Apu, venu en tant que simple invité, se voit contraint d’épouser la jeune femme pour lui éviter le déshonneur. Malgré les difficultés économiques du ménage, ce mariage précipité se transforme en un profond amour.

    Vaiju Naravane présentera les films et animera les débats durant ce week-end. Longtemps correspondante des plus grands quotidiens indiens, tels The Hindu, elle est une star du journalisme en Inde, et au delà - elle participe à de nombreuses émissions en France (TV5 Monde, Arte, France 24, RFI, France Culture, etc.) mais aussi au Royaume Uni et aux États-Unis. Elle enseigne à Sciences Po et à l’ENS. 

    Le programme de ce Week-end indien se trouve ici.

    Un week-end de cinéma indien, Alticiné, Montargis
    Les 25 et 26 mai 2024
    https://www.cramesdelabobine.org/spip.php?article4744
    https://www.cramesdelabobine.org/IMG/pdf/flyers/flyer2405we_indien.pdf

    Voir aussi : "Le Salon de musique"

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  • Le Mal n’existe pas

    Les Cramés de la  Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film Le Mal n’existe pas. Il sera visible du 24 au 30 avril 2024. Soirée débat le mardi 30 avril à 20 heures 30.

    Takumi et sa fille Hana vivent dans le village de Mizubiki, près de Tokyo. Comme leurs aînés avant eux, ils mènent une vie modeste en harmonie avec leur environnement. Le projet de construction d’un « camping glamour » dans le parc naturel voisin, offrant aux citadins une échappatoire tout confort vers la nature, va mettre en danger l’équilibre écologique du site et affecter profondément la vie de Takumi et des villageois...

    Le Mal n’existe pas, drame japonais  Film belge de Ryūsuke Hamaguchi 
    avec Hitoshi Omika, Ryo Nishikawa, Ayaka Shibutani, 2024, 107 mn
    Titre original : Aku wa sonzai shinai]
    https://www.cramesdelabobine.org/spip.php?rubrique1440
    https://diaphana.fr/film/evil-does-not-exist

    Voir aussi : "Holly"

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  • Inchallah un fils

    Les Cramés de la  Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film Inchallah un fils. Il sera visible du 21 au 26 mars 2024. Soirée débat le mardi 26 mars à 20 heures 30.

    Jordanie, de nos jours. Après la mort soudaine de son mari, Nawal, 30 ans, doit se battre pour sa part d’héritage, afin de sauver sa fille et sa maison, dans une société où avoir un fils changerait la donne.

    Inchallah un fils, drame jordanien d’Amjad Al Rasheed
    Avec Mouna Hawa, Seleena Rababah et Haitham Omari, 2024, 113 mn
    Scénario : Amjad Al Rasheed et Rula Nasser
    https://www.cramesdelabobine.org/spip.php?rubrique1434
    http://distrib.pyramidefilms.com

    Voir aussi : "Mon nom est Personne"

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  • Mon nom est Personne

    Les Cramés de la  Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film Mon nom est Personne. Il sera visible du 20 au 26 mars 2024. Soirée débat le dimanche 24 mars à 20 heures 30.

    En 1895, une bande de 150 tueurs, "La Horde sauvage", fait régner la terreur à travers plusieurs Etats. Sullivan (Jean Martin), ex-aventurier sans scrupule, tueur à gages, chercheur d’or et voleur, propriétaire d’une mine d’or, s’est associé avec la Horde pour écouler l’or volé par les bandits en faisant croire que leur butin provient officiellement de la mine. Il donne en outre l’ordre de faire abattre l’un de ses anciens complices, William Beauregard, le frère du célèbre pistolero Jack Beauregard (Henry Fonda). Il engage alors Personne (Terence Hill), une gâchette particulièrement redoutable.

    Mon nom est Personne, western italo-germano-français de Tonino Valerii
    Avec Henry Fonda, Terence Hill, Jean Martin, 1973, 116 mn
    https://www.cramesdelabobine.org/spip.php?rubrique1398
     
    Voir aussi : "L’Empire"

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  • L’Empire

    Les Cramés de la  Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film L’Empire. Il sera visible du 13 au 19 mars 2024. Soirée débat le mardi 19 mars à 20 heures 30.

    Entre Ma Loute et La Vie de Jésus, entre le ciel et la terre, Bruno Dumont nous offre une vision caustique, cruelle et déjantée de La Guerre des étoiles.

    L’Empire, science-fiction français de Bruno Dumont
    avec Lyna Khoudri, Anamaria Vartolomei, Camille Cottin, 2024, 110 mn
    https://www.cramesdelabobine.org/spip.php?rubrique1430
    https://www.arpselection.com/film/lempire

    Voir aussi : "Le Titien, l’empire des couleurs"

     

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  • Homicide ?

    Nous venons de l'apprendre : Anatomie d’une chute vient de remporter l'Oscar du meilleur scénario. Mérité et sans surprise ! Le film de Justine Trier est devenu en quelques mois plus qu’une surprise : une œuvre majeure, incroyable dans sa construction, passionnante et déroutante. Sa Palme d’Or le Printemps dernier et les multiples autres récompenses, dont des Césars, avec celui du meilleur film et de la meilleure réalisatrice, le prouvent.

    Anatomie d'une chute commence pourtant de la manière la plus classique qui soit pour un film policier. Un homme est découvert mort au bas de son pavillon au coeur des Alpes. Il s’appelle Samuel, vit en couple avec Sandra (incroyable et géniale Sandra Hüller) avec qui il a un enfant, Daniel. Ce dernier est aveugle depuis un accident.

    Le jour de la mort du père, ce dernier faisait des travaux de restauration dans leur chalet. Une étudiante était venue interviewée Sandra, une auteur d’origine allemande, un rendez-vous écourté  par le vacarme d’une musique mis à plein volume par Samuel. De retour d’une ballade avec le chien de la famille – un animal qui ne sera pas pour rien dans la résolution de l’affaire – Daniel tombe sur le cadavre de son père. Assez rapidement, les soupçons se portent sur sa compagne. 

    Justine Trier brouille les pistes

    Justine Triet brouille les pistes dans cette histoire de mort suspecte. Suicide ou meurtre ? Et dans le dernier cas, qu’est-ce qui en serait la cause ? Les première minutes s’intéressent à l’enquête et aux interrogations de l’avocat, dont on apprend vite qu’il est un ami intime de Sandra.

    La chute de Samuel est détaillée avec soin, même si en fait de chute et d’autopsie c’est bien celle d’une famille dont il est question. Le procès, pointu et rugueux, va étaler sur la place publique les crises, les reproches, les frustrations et les accusations d’un homme et d’une femme, et l’accident de leur fils ne constitue pas un moindre choc.

    Oui, Justine Trier brouille les pistes. Beaucoup de cinéastes auraient choisi pour cadre celui d’un féminicide, pas d’un homicide. Pas elle, qui prend pour personnage centrale une femme forte qui a réussi et dont le succès frustre son mari réduit à celui de père au foyer – accusant en plus sa compagne de plagiat. Comment la justice va réagir face à une accusée étrangère, paumée dans la région natale de son compagnon et qui a su su cicatriser la douleur du handicap de son fils grâce à des relations adultérines et homosexuelles ? Le spectateur assiste pétrifié au procès, à ses arguments et contre-arguments, jusqu’à une résolution inattendue grâce à un enfant et à son chien.      

    On sort secoué par ce film, marqué par des scènes et des sons incroyables – la musique assourdissante et insupportable de Bacao Rhythm & Steel Band, le dialogue en voiture entre le père et son fils, la dispute alcoolisée entre Sandra et Samuel ou les effets de manche du procureur.

    Plus qu’une réussite, cette Anatomie d’une chute restera longtemps dans les mémoires. 

    Anatomie d’une chute, drame policier français de Justine Triet, avec Sandra Hüller, Swann Arlaud, Milo Machado-Graner et Antoine Reinartz, 2023, 151 mn
    https://le-pacte.com/france/film/anatomie-dune-chute
    https://www.canalplus.com/cinema/anatomie-d-une-chute/h/23104851_50001

    Voir aussi : "Cher papa, insupportable père"

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  • They Shot the Piano Player

    Les Cramés de la  Bobine présentent à l'Alticiné de Montargis le film They Shot the Piano Player. Il sera visible du 6 au 12 mars 2024. Soirée débat le mardi 12 mars à 20 heures 30.

    Un journaliste de musique new-yorkais mène l’enquête sur la disparition, à la veille du coup d’État en Argentine, de Francisco Tenório Jr, pianiste brésilien virtuose. Tout en célébrant le jazz et la Bossa Nova, le film capture une période éphémère de liberté créatrice, à un tournant de l’histoire de l’Amérique Latine dans les années 60 et 70, juste avant que le continent ne tombe sous le joug des régimes totalitaires.

    They Shot the Piano Player, drame musical et d’animation espagnol 
    de Fernando Trueba et Javier Mariscal avec Jeff Goldblum, Roberta Wallach et Tony Ramos, 2024, 103 mn
    https://www.cramesdelabobine.org/spip.php?rubrique1429
    https://www.dulacdistribution.com/film/they-shot-the-piano-player/176

    Voir aussi : "La Bête"

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