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  • Bla Bla Blog fête ses 7 ans

    Bla Bla Blog fête aujourd'hui sa septième bougie. 

    Et oui ! C'est en pleine période estivale que le plus curieux des blogs culturels est né. Qui aurait prédit que quelques années et 1000 chroniques plus tard il poursuivrait son chemin. 

    Gageons que ce n'est qu'un début. 

    D'ailleurs je vous parlerai très vite de quelques découvertes : Riopy et ses compositions envoûtantes, Tatiana de Rosnay et ses Fleurs de l'Ombre et David Foenkinos, qui continuera à nous intéresser pour le hors-série qui lui est consacré depuis quelques mois. Il sera aussi question d'Enki Bilal et de l'exposition qui lui est consacrée à Landerneau, du roman Dee Dee Paradize de Roberto Garcia Saez et de l'envoûtant Rêve de Japon de l'Atelier Sentô.

    Photo :  Andrea Piacquadio - Pexels.com

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  • Joli grabuge

    Derrière Geronimal, un pseudo énigmatique dont l’identité est jalousement gardée secrète, se cache un artiste au talent singulier, auteur d’un premier album au titre évocateur, Touch.

    L’auditeur aura bien sûr tout de suite fait le rapprochement avec la French Touh, ce courant électro qui a bercé la fin du dernier millénaire et la première décennie des années 2000. Pour son opus, Geronimal propose 15 morceaux, dont 11 inédits, en forme de voyage alliant morceaux rythmés invitant à la danse ( "You And I", "Universe" ou "Rise Up") et compositions plus exigeantes, pour ne pas dire engagées ("Respect", "Nimal" ou "F**k That").

    Loin d’être un pur album de dance-floor, l’album de Geronimal parvient à séduire et étonner, à l’image de "Ggroove" – avec deux "G" – qui peut se lire comme une fusion réussie entre le premier tube électro Popcorn de l’histoire et une composition à la Daft Punk. C’est un joli "grabuge" que cet étonnant album, pour reprendre le premier morceau de haute volée composée par un musicien qui a choisi un pseudo renvoyant autant au chef indien Geronimo, guerrier rebelle et chaman qu’à la nature sauvage.   

    De ce point de vue, "Nimal" porte l’ADN de cet album à la fois organique et aux aux multiples inventions sonores et rythmiques.

    Un album à la fois organique et aux aux multiples inventions sonores et rythmiques

    Touch semble balancer à chaque moment entre l’humain, la nature brute et la technologie, dans une sorte de dialectique musicale. Ainsi, "Make Me", avec ses voix d’enfant et féminines et ses boucles synthétiques, paraît digne de pouvoir figurer dans un film de Cronenberg – que ce soit le père ou le fils.

    Disons-le : le producteur et compositeur parvient à humaniser et sexualiser ses machines, à l’instar de "Do You Love Me". À dessein : Geronimal présente cette "ode à la séduction" comme un morceau dénonçant l’instrumentalisation du genre féminin. Dans le même esprit, "Welcome" et ses boucles de voix féminines ("Qu’est-ce que tu veux, toi ?"), noyées dans des couches de sons synthétiques inquiétants, se présente comme une bataille rangée entre machines et humains – à moins que ce ne soit entre hommes et femmes.

    On aurait tort de considérer Touch comme un opus désincarné, à l’image du morceau "Kick Me" et son univers mystérieux et futuriste. Geronimal ne laisse pas la main à des machines, aussi inventives et ténébreuses qu'elles soient : le musicien s’engage ("Respect"), s’amuse ("Funking") et parvient à donner des couleurs inédites si l’on pense au titre électro-latino "Vamos".

    Et avec tout ça, il y a bien sûr le rythme, omniprésent : en conclusion, semble suggérer Geronimal, la machine est au service de l’homme pour son plus grand plaisir, et pas l’inverse.   

    Geronimal, Touch, Artpills Records, 2021
    https://www.geronimal.com
    https://www.facebook.com/geronimalmusic
    https://www.instagram.com/geronimal_music

    Voir aussi : "Tripes hop"

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  • Bilan du don pour l’ICM suite au décès de Sandrine Chiron

    Sandrine Chiron est décédée des suites d’une sclérose en plaques un 21 juin, le jour de la fête de la musique. Pour une musicienne et une passionnée d’arts c’est à la fois cruel et ironique.

    Ses proches, ses amis et toutes celles et ceux qui l’ont côtoyé ont voulu lui rendre hommage en organisant une cagnotte en ligne et hors-ligne en faveur de l’ICM (Institut du Cerveau et de la Moelle épinière). 

    1270 € ont été récoltés.

    Un grand merci à tous les participants de cette cagnotte dont les dons serviront cette cause importante. 

    Cagnotte en faveur de l’ICM, hommage à Sandrine Chiron
    https://institutducerveau-icm.org/fr
    https://www.facebook.com/sandrine.cemoy

    Voir aussi : "Dons pour l’ICM, en hommage à Sandrine, victime d’une sclérose en plaques"

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  • Future naissance

    Mieux qu’une chanson feel good comme ne le laisserait deviner sa facture (piano et voix délicate), "Je veux naître", le dernier single de Caryn Trinca, est l’ode à une naissance à venir.

    La chanteuse, qui annonce un album pour la fin de l’année, se met à la place du petit être prêt à arriver au monde : "De dimension parallèle / Je jette une bouteille à la mer / Je l’ai choisi je veux y croire / Non ce n’est pas la mer à boire".

    Ce premier single annonce un futur opus déjà séduisant. À suivre donc.

    Caryn Trinca, Je veux naître, Believe, 2021
    https://www.facebook.com/caryntrincalbum
    https://www.instagram.com/caryntrinca

    Voir aussi : "À cause des garçons"

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